On accède à l’église par une volée de marches formant un perron. L’édifice présente une nef unique à trois travées, et un chœur moins large d’une seule travée, dont le chevet est plat. La nef est barrée par un transept saillant. Le clocher, accessible depuis l’extérieur et depuis la nef, est excentré lui aussi côté sud-ouest.
Téléphonez au 02 41 95 32 15 pour connaitre les heures d’ouverture de l’église.
Construite en grès du pays l’église Saint-Martin-de-Vertou et son clocher pointu couvert d’ardoises signalent le village à la ronde. Excentré sur le côté sud, le clocher surplombe une tour carrée du XIIIe siècle, épaulée de quatre contreforts. Du XIe siècle sa nef romane unique, couverte par un berceau brisé en lambris. Le chœur à deux travées, du XIIe siècle, est de style gothique angevin dit aussi Plantagenêt. Il est couvert par des voûtes à multiples nervures. Sur les panneaux sculptés de la chaire, en chêne du XVIIIe siècle, sont représentés les quatre évangélistes : saint Luc et le taureau, saint Marc lisant aux côtés de son lion, saint Matthieu et l’homme, saint Jean et son aigle. Sur le dossier de la chaire, saint Jean-Baptiste en aube porte l’agneau.
Séoul est une ville profondément chrétienne, à l’image de tout le pays. En effet, le christianisme est la principale religion en Corée du Sud, devant le bouddhisme. C’est par les ouvrages des jésuites publiés en Chine que le christianisme est introduit en Corée depuis le XVIIIe siècle. L’archidiocèse de Séoul a été érigé canoniquement le 10 mars 1962 par le pape Jean XXIII. L’archevêque, Mgr Andrew Yeom Soo Jung, siège à la cathédrale Myeong-Dong. C’est un édifice de style néo-gothique bâti à la fin du XIXe siècle, lorsqu’après des centaines d’années d’isolement, Séoul a ouvert ses portes aux étrangers et a commencé à se moderniser. Elle est bâtie sur l’emplacement où s’installa en 1784 la première communauté catholique de la ville.
Heures d’ ouverture
Du 01/01 au 31/12, tous les jours de 8 h à 19 h.
Saint-Gervais-Mont-Blanc se situe dans le Val Montjoie, en haute-vallée de l’Arve. L’église Saint-Gervais, propriété de la commune, est inscrite à l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques depuis le 30 septembre 1987, et son clocher a été classé Monument historique à cette même date. Ce clocher lanterne à deux niveaux surmonte une façade baroque. Édifié au XIIe siècle, le clocher est plus ancien que l’église elle-même, datée du XVIIe siècle. Il est couronné d’une première flèche depuis 1764. En 1819, le clocher est à nouveau couvert ; l’architecte Amoudruz le pare alors du bulbe qu’il conserve de nos jours.
Pour connaître les heures d’ouverture de l’église Saint-Rémi nous vous conseillons de téléphoner au : 01 43 76 75 56
L’église Saint-Rémi reste le plus ancien édifice de Maisons-Alfort. Cette église paroissiale, dépend de l’évêché de Créteil. C’est en 988 qu’Hugues Capet fait don de son territoire à l’abbaye de Saint-Maur-des-Fossés sur lequel est établie une église dédiée à saint Rémi, évêque de Reims. Le bâtiment actuel, dont les parties les plus anciennes datent du XIIe siècle, occupe sans doute l’emplacement primitif de l’église. Construite sur un plan rectangulaire, elle comporte une nef de quatre travées longée, au nord-ouest, d’un seul collatéral.
Pour organiser une visite de l’Eglise Saint-Martin, nous vous conseillons d’appeler la Mairie au 05 53 05 25 28
Ajat, petite commune du Périgord Noir de 300 habitants, a conservé son caractère pittoresque et authentique. Son église Saint- Martin, et le château qui la jouxte, veille sur le bourg depuis le XIIème siècle. Depuis plusieurs années cette église romane fait l’objet d’une importante restauration où la noblesse de la pierre domine, mais ce sont les vitraux qui lui redonnent ce supplément d’âme.
René Caffier, qui a restauré le château d’Ajat, a proposé le Père Kim en Joong pour réaliser ces vitraux. L’association « Les amis d’Ajat » a été créé, regroupant tous ceux qui étaient convaincus que cette proposition était une opportunité exceptionnelle. Elle a assuré la maîtrise d’ouvrage avec les Ateliers Loire et permis le financement par mécénat privé avec le support de la Fondation du Patrimoine. Aujourd’hui c’est une communion entre les vitraux des 10 baies et la beauté épurée de l’édifice. C’est une danse de couleurs qui se reflète sur le pavement et embrasures des baies. Ce sont des sources de lumière qui donnent un nouveau souffle à la vocation spirituelle du lieu.
Le vitraux furent bénis le 26 avril 2014 par Monseigneur Michel Mouïsse, évêque de Périgueux et de Sarlat, entouré des Pères Christian Miane, Jean-Marc Nicolas, Jean-Nicolas Sed et naturellement en présence du Père Kim En Yoong.
L’assistance a été chaleureusement accueillie par Monseigneur Mouïsse qui a donné le ton de cette journée : convivialité, recueillement et partage.
Comme le dit si bien Bruno Loire, Maître Verrier : « L’autre particularité de ce chantier se situe sur un plan humain. Le projet très important pour une si petite commune, a pu voir le jour grâce à la foi extraordinaire des membres d’une association et d’une municipalité enthousiaste, qui se sont mobilisés et ont su se fédérer.
En effet, une association a été créée en septembre 2010, à l’initiative d’une poignée d’habitants d’Orgnac-sur-Vézère, association en étroite concertation avec le maire Marcel Dandaleix, son adjointe Brigitte Marsac et le père Nicolas Risso, curé de la paroisse. Monsieur Jean Pouget en est le président.
Depuis sa création, l’association s’est attachée à :
. contribuer à l’élaboration de projets de financement présentés auprès de différents organismes, recueillir des dons par tous moyens.
. suivre le projet des vitraux qu’elle avait initié
. organiser des animations culturelles (concerts, soirées musicales, expositions, conférences),
. organiser des journées de bénévolat pour assurer des petits travaux de restauration et d’entretien,
. éditer des documents de présentation de l’église ainsi qu’un livre, développer ce site internet,
. sensibiliser les habitants et visiteurs à la beauté de cette modeste église,
. participer aux journées du Patrimoine.
L’oeuvre du Père kim pour Orgnac se compose de 11 vitraux travaillés sur un verre float de 8 mm d’épaisseur préalablement thermoformé et peint avec céments, émaux et grisailles, créés au sein des Ateliers Loire.
Pour visiter l’Eglise Saint-Pierre-et-Saint-Paul nous vous conseillons d’appeler la mairie au : 03 86 50 04 36
Diennes-Aubigny est une petite commune d’une centaine d’habitants dans la Nièvre. L’Eglise Saint-Pierre-et-Sain-Paul est un joyau de l’art roman du XIIème siècle. Elle a été inscrite au Monument Historiques en 1964
Sous l’impulsion de l’association « Perennité de l’Eglise » des phases de restauration ont lieu depuis 1996. Dans les années 2010, le projet de remplacer des vitraux de verre blanc par des vitraux contemporains voit le jour. Sous la houlette de son maire, Jean-Pierre Carré, le comité de pilotage choisit Kim En Joong.
L’ors de sa première visite de l’église le Père Kim resta le longues minutes en silence, impressionné devant les reflets de la lumière extérieure sur les pierres des murs. Voici la lettre qu’il envoya au comité de pilotage de cette restauration, après cette première visite :
« Comme pour toutes mes créations précédentes en peinture et en vitrail, je travaillerai de façon abstraite. Il n’y aura donc pas de représentations figuratives ou symboliques. Mes vitraux contribueront à l’atmosphère de recueillement et de spiritualité de cette belle église romane et non à illustrer une catéchèse.
Je compte avoir pour l’ensemble des baies une dominante chaude à base de jaune et de rouge. Cependant pour le choix des couleurs que j’utiliserai en complément des jaunes et rouges et par mon geste pictural, j’aimerais évoquer les thèmes suivants : le Christ pour les baies du chœur, où la gamme chaude sera privilégiée, et cette même gamme chaude pour les baies ouest, en réponse à celles du chœur, Le Magnificat et la Vierge pour la grande baie nord, avec une dominante rouge pour le Magnificat et quelques bleus pour la Vierge, un hommage à saint Pierre et saint Paul pour les deux grandes baies sud, avec toujours une dominante chaude accompagnée de touches de bleus, verts et violets, rendant hommage aux deux saints et enfin les quatre évangélistes pour les quatre baies romanes hautes du nord et du sud avec « une ronde arc-en-ciel ».
Comme pour mes précédents vitraux de Brioude et de Montceaux-l’Etoile, le travail de peinture sur verre utilisant des céments, émaux et grisailles, sera privilégié. Le verre support, un verre float de 6 ou 7 mm pourra être thermoformé de façon à donner une matière et premier graphisme au verre. Mon travail de peinture avec des pinceaux de calligraphie et un pistolet sera réalisé en atelier, plusieurs cuissons successives étant nécessaire pour réaliser l’œuvre. Les verres seront trempés pour les sécuriser et les rendre plus résistant aux chocs mécaniques et thermiques. »
Les 11 baies, 6 m2 ont été réalisés non loin de Chartres dans les ateliers Loire, qui ont aussi effectué leurs poses.
Le 8 juin 2013 eut lieu la bénédiction des vitraux par Monseigneur Thierry Brac de La Perrière, évêque de Nevers.
Prier avec les frères
Les offices, messes et prières sont accessibles à toutes et tous.Du lundi au vendredi :
Laudes à 8 h
Messe à 19 h
Vêpres à 18 h
A Louvain-la-Neuve, les Frères Dominicains ont décidé de construire le Couvent Fra Angelico. Un couvent à l’architecture contemporaine, près de la cité universitaire.
Un projet des architectes Gery Despret et Benoît Gillon a su plaire à la communauté. « Lorsque l’on a décidé de venir s’installer à Louvain-la-Neuve, nous avons fait appel à quatre bureaux d’architectes. Trois du Brabant wallon et un de Bruxelles. L’un de ces bureaux nous a juste soumis une idée, celle d’une chapelle en forme d’œuf. Elle nous a directement plu », explique Stéphane Braun, prieur du couvent et lui-même architecte qui a collaboré à la construction de ce bâtiment.
Ici, les frères ont voulu aller le plus loin possible dans les économies d’énergie : récupération de l’eau de pluie, ventilation mécanique, isolation maximale…
Inauguré en 2010, l’immeuble est composé de deux parties : le couvent à proprement parler, et la chapelle. Cette dernière se présente sous la forme d’un œuf haut de dix mètres. Opaque le jour, elle devient translucide une fois la nuit venue.
Dans cette chapelle, le père Kim a créé 5 vitraux dont une croix, toujours avec l’atelier Loire.
Afin de pouvoir visiter l’église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, nous vous conseillons de prendre contact avec la mairie.
Tél : 03 85 25 14 85
Lundi 9 h – 12 h
Jeudi et Vendredi 13 h 45 – 17 h
Montceaux-L’Étoile est une petite commune de Saône-et-Loire de 250 habitants.
L’église Saint-Pierre-et-Saint-Paul domine la vallée de l’Arconce. Cet édifice appartient à un ensemble exceptionnel d’églises romanes du XIIème siècle, réparti dans tout le Brionnais. Elle est inscrit aux Monuments Historiques en 1893.
L’ensemble paroissial se présente sous la forme d’un cube dans lequel sont groupés le sanctuaire, le presbytère et de nombreuses salles à usage divers. Il ressemble aux H.L.M. du quartier, aux grands ensembles qui l’entourent, aux usines modernes des environs. Mais la croix et le campanile de l’entrée rappellent le caractère sacré de l’édifice.
Le Père Kim a tenu à ce que les anciennes menuiseries, trop imposantes, soient déposées.
Les nouveaux vitraux, réalisés dans l’atelier Loire, s’insèrent désormais dans de fines menuiseries métalliques qui permettent à la lumière d’entrer le plus généreusement possible.
La grande hauteur de chaque verrière a cependant nécessité une composition tripartite qui évoque la Trinité.
Le Père Tadeusz a laissé à Kim en Joong la plus grande liberté dans l’interprétation du programme de départ. Il estime que les 12 verrières ont métamorphosé toute l’atmosphère de l’église. L’architecture austère s’est éclairée et ouverte encore plus largement. La paroisse, populaire et très vivante, accueille désormais 1200 personnes pratiquantes dont 400 polonais.
Rosace de 150 cm de diamètre.
Technique : Verre incolore 6 mm peint à la grisaille, céments et jaune d’argent
Ateliers Loire, Lèves France
Parmi tous les bâtiments du monastère, seule l’église se visite.
En dehors des heures réservées aux offices, l’église est ouverte mais n’est pas accessible dans sa totalité.
Les visites complètes sont possibles chaque après-midi du Mardi au Dimanche inclus, entre 15 h 00 et 17 h 00. (excepté durant la retraite des moines à la mi-janvier).
Vous pourrez également admirer les merveilles de l’architecture romane et les vitraux du Père Kim En Joong.
Il est également possible de voir le cloître à partir de l’église, grâce à une baie vitrée qui y donne directement accès. Les autres bâtiments du monastère ne sont pas accessibles aux visiteurs pour ne pas perturber la vie monastique de la communauté.
L’édifice est éclairé, au sud, par des baies de plein cintre, ouvertes dans chacune des 3 travées de la nef, et dans le bras du second transept, à l’est, par des ouvertures placées dans l’axe de l’abside et de chacune des deux absidioles, et à l’ouest par l’oculus surmontant le portail de la façade occidentale.
Les moines, leur père abbé René-Hugues de Lachaisserie et l’architecte des Monuments Historiques œuvrèrent de concert pour choisir un peintre qui concevrait de nouvelles verrières.
De nombreux artistes furent pressentis et des projets esquissés sans être retenus. Le père abbé s’était entre-temps rendu à Rome et avait séjourné à Sainte-Sabine. Les vitraux, que le Père Kim y avait réalisés, le convainquirent alors de faire appel à l’artiste coréen.
Le Père Kim, avant de créer les vitraux, a séjourné au monastère. Il a partagé la vie des moines bénédictins et a observé les effets de la lumière dans l’église. Il s’est ensuite mis au travail dans les ateliers Loire.
Chaque baie se compose d’une plaque unique, à l’exception de la rosace située derrière l’orgue divisée en neuf partitions.
Inaugurés en 2006, les vitraux de Kim en Joong sont pour la communauté de Ganagobie, « Une invitation à voir au-delà ou plus loin. Ils s’offrent à nos regards en signe d’une surabondance généreuse, qu’on peut nommer grâce ou gratuité. Ils sont, dans un univers mesuré, calculé, compté, la promesse déjà réalisée d’un monde libre, gratuit et harmonieux ».
Vitraux : 8 baies dont 1 rosace de 12 m de diamètre et 8 baies romanes pour 8, 50 m2.
Technique : Verres incolores de 6 mm, émaux, céments, grisaille et jaune d’argent.
Ateliers Loire
Le monastère est inscrit au Monument Historique depuis 1946 pour l’église et 1988 pour le prieuré.
Pour connaître les horaires d’ouverture, téléphonez au : 04 77 54 41 26
1 baie pour la chapelle du baptistère, 2. 80 m2 (240 cm x 120 cm)
Technique : Verre incolore 6 mm, peint à la grisaille, émaux et céments.
Ateliers Loire
Eglise ouverte tous les jours de 8 h 30 à 20 h
Le Père Kim connait bien l’église Saint-Joseph-Artisan, car il fut l’un des aumôniers des Sœurs Servantes des Pauvres, installées dans le bâtiment attenant à l’église. Il célèbre, chaque dimanche, la messe dans leur chapelle et rencontre ainsi le Père Pierre de Parcevaux, curé de la paroisse. Celui-ci lui fait part de ses questions concernant les vitraux de l’église pour la plupart endommagés.
Le Père Kim propose alors au prêtre d’offrir son travail à la paroisse et d’imaginer une suite de 5 vitraux pour le bas-côté. Le chantier est confié aux Ateliers Loire
Située en bord de route entre Bénodet et Fouesnant, elle a été l’église paroissiale de Bénodet jusqu’en 1878. Sa partie romane fut édifiée au XIe siècle. L’église est inscrite aux Monuments Historique depuis 1916.
L’enclos qui entoure l’église fut un ancien cimetière. Son calvaire, restauré en 1989, représente Saint Laurent et Sainte Brigitte les deux saints à qui est dédiée cette église. La statuaire, l’autel et les vitraux ont été restaurés et présentent une polychromie de grande qualité.
Technique : Verres peints aux émaux, à la grisaille noire et cémants puis fractionnés suivant le graphisme du Père Kim ; quelques pièces sont remplacées par d’autres types de verres puis assemblage au plomb.
Deuxième tranche 2003 : Chapelle 6 baies de 6 m2
Ateliers Loire
Le monastère dominicain Sainte-Catherine-de-Sienne a été fondé en Irlande en 1722. Suite à un incendie dévastateur la communauté a décidé de construire un nouveau couvent à côté de la ville de Drogheda.
Les sœurs contemplatives vivent dans le silence et la prière.
Les vitraux de l’église du couvent sont contemporains de la cathédrale d’Evry ; ce sont les deux premières collaborations entre le Père Kim et les Ateliers Loire.
Technique : Verre antique sertis de plomb peints à l’émail.
6 baies de 20 m2
Afin de connaître les heures d’ouverture de l’église, téléphonez au 05 45 91 29 33
Eglise
Eglise
Eglise
Eglise
Eglise
Eglise
Eglise
Eglise
Eglise
Eglise
Eglise
Eglise
Eglise
Eglise
Eglise
Eglise
Eglise
Eglise
Eglise