Contacts :
Tél : 33 (0)4 71 00 61 02 et 33 (0)6 72 79 84 96
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http://www.aucoeurdelhomme.org
En 2011, a été décidé de créer une extension sur le site Devins, pour doter l’établissement d’une quinzaine de chambres supplémentaires. Le père Rouchon, aumônier de la place, a demandé un lieu spécifique afin de célébrer la messe dans de bonnes conditions.
C’est l’architecte Vincent Besançon, de Brioude, qui a assuré la maîtrise d’œuvre de l’ensemble. Georges Rouzaire, président de l’association, sollicite alors le père Kim et l’atelier Loire, pour étudier la possibilité d’une création de vitraux dans cette nouvelle chapelle. Le projet, accepté par le conseil d’administration, a été soutenu financièrement par les religieuses dominicaines.
La chapelle, installée en rez-de-jardin, s’agrandit, côté chœur, d’une excroissance triangulaire, telle une abside. Placés à l’arrière de l’autel, deux vitraux tout en hauteur sont exposés au nord. Sur cette même façade, la porte d’accès à la chapelle est réalisée en vitrail. À gauche de l’autel et à l’ouest, en partie haute, trois petites baies horizontales, donnant sur un passage extérieur, ont été pourvues de trois vitraux. Les œuvres sont assemblées en vitrage isolant de 32 mm et feuilletées sur leurs deux faces. Côté est, enfin, trois baies intérieures verticales donnent sur la salle polyvalente voisine. Les trois vitraux ont été montés en vitrage feuilleté acoustique. Le père Kim a peint en 2014 ces neuf vitraux à la grisaille, émaux et céments, dans l’atelier Loire.
L’église de la Transfiguration se dresse à Cape Cod dans la ville d’Orleans aux Etats-Unis. L’architecture de cette église, bâtit il y a quarante ans, évoque une ancienne basilique.
La Communauté de Jésus est une communauté chrétienne œcuménique dans la tradition monastique bénédictine.
Les deux portes créées par le Père Kim avec les ateliers Peters Wilhem , séparent l’Eglise de la Chapelle
de l’Emmanuel.
La technique employée est une peinture avec différentes couleurs d’email sur un verre sécurisé.
Le tribunal d’instance ayant cessé ses activités en 2015, le bâtiment abrite désormais les bureaux du Trésor Public et le centre des Impôts. L’ancienne salle des audiences, qui servait exceptionnellement de salle de réunion, accueille depuis 2019 le « Passage Kim En Joong ». Cet espace est né d’une rencontre, en 2017, entre le peintre et Myriam Fougère, alors maire de la commune. Kim En Joong avait proposé de faire don de quelques-unes de ses œuvres pour qu’elles soient exposées à Ambert, souhaitant un lieu non pas religieux mais profane.
Kim En Joong a choisi de présenter, au Passage, des céramiques de grande taille réalisées dans les locaux de la Faïencerie de Charolles, des toiles, des cartons peints, des peintures sur verre, un ensemble de créations qui se distinguent de l’œuvre sacrée. Les céramiques ont été réalisées à Charolles. La maquette des vitraux a été peinte sur toile à Ambert.
Les toiles et les cartons ont été conçus en collaboration avec François Cheng, membre de l’Académie française, qui a calligraphié des textes associés aux peintures du père Kim, comme « La création est un processus continu », « La beauté est une rencontre », « Tout ce qui vit est unique », ou encore ces vers : « Vraie lumière, Celle qui jaillit de la nuit ; Et vraie nuit, Celle d’où jaillit la lumière » Lors de l’inauguration du Passage, le 15 juin 2019, Kim En Joong rendait ainsi hommage à l’académicien: « Lui et moi avons été victimes de l’occupation japonaise. François Cheng a écrit Vraie lumière née de vraie nuit. Et en France, nous avons été tellement bien accueillis ! Il est temps pour nous de remercier. C’est la Providence qui m’a fait connaître la région grâce aux sœurs dominicaines. Et Myriam Fougère m’a proposé de transformer le tribunal en musée ! » La scénographie se devait de respecter l’état originel du lieu, tout en étant réversible.
L’installation se découvre depuis la porte d’entrée : de part et d’autre de celle-ci, ont été accrochées les quatre-vingts petites peintures dédiées au cardinal Danneels, présentées en deux ensembles. Dans l’axe de la salle, les vingt-quatre toiles de Kim En Joong, calligraphiées par François Cheng, sont accrochées dans le volume englobant le bureau du juge, précédé d’un cube, où sont posées à plat quatre peintures, également calligraphiées. Symétriquement, se présentent les deux ensembles de deux céramiques, positionnées sur des podiums recouvrant les anciens bureaux des greffiers. Placés devant les quatre fenêtres, éclairant l’ancienne salle des audiences, sont fixés quatre vitraux.
Les œuvres sur verre ont toutes été réalisées dans l’atelier Wilhem Peters, à Paderborn en Allemagne, à l’exception de deux vitraux, le premier à dominante noire et le second à dominante rouge, créés au sein de l’atelier Loire, près de Chartres. Le père Kim y est intervenu en travaillant directement sur les verres avec des jaunes d’argent, des rouges de cuivre et des émaux noirs.
La baie à dominante rouge a été peinte à plat avec des jaunes d’argent et des rouges de cuivre. Elle a ensuite été posée verticalement, de manière à laisser apparaître des coulures volontaires, avant de subir une cuisson à six cent cinquante degrés. Puis les émaux noirs ont été posés pour une seconde cuisson. La baie à dominante noire a d’abord reçu le jaune d’argent, avant la première cuisson, puis l’émail noir et l’émail rouge avant la seconde cuisson.
Les vitraux ont été exécutés par les Ateliers Peters à Paderborn (Allemagne) et les Ateliers Loire à Lèves (France).
Téléphone : 04 73 82 02 17
Horaires d’ouverture
Du mardi 9 mai au vendredi 22 septembre 2023
Mardi de 10 h à 17 h
Mercredi de 10 h à 12 h
Jeudi de 10 h à 17 h
Vendredi de 10 h à 12 h
« A l’occasion des 60 ans de sacerdoce du cardinal Godfried Danneels, archevêque émérite de Malines-Bruxelles, une eucharistie festive a été célébrée à la basilique de Koekelberg, présidée par le cardinal Jozef de Kesel. L’occasion également pour ce grand amateur d’art contemporain d’inaugurer les vitraux réalisés par l’un de ses amis, le frère Kim En Joong.
C’est une image de fraternité et d’amitié que donnait, ce 17 août, à la Basilique de Koekelberg, l’Eglise de Belgique autour de l’un de ses prélats, le Cardinal Godfried Danneels.
Jamais, il ne l’a caché. Le Cardinal Danneels prie et médite, souvent en osmose,avec les œuvres d’artistes qui offrent leur savoir-faire à la beauté et à la spiritualité sous toutes ses formes. Quoi de plus normal qu’il croise alors les pas du frère Kim En Joong. Un dominicain, d’origine coréenne, dont le travail sur les chemins escarpés de l’art abstrait n’a pas cessé d’étonner et qui a trouvé un succès exceptionnel et mondial, aussi bien par ses toiles que ses vitraux ou encore ses céramiques.
De cette amitié, des projets vont naître et se matérialiser. Pour les 80 ans du Cardinal, le frère Kim En Joong se lance dans la création de 80 céramiques.
Ce jeudi 17 août, les deux hommes se sont retrouvés en la basilique du Sacré-Coeur de Koekelberg. Un moment d’émotion pour ces amoureux de l’art moderne et contemporain. Un moment unique aussi pour le frère Kim avec l’inauguration de deux nouveaux vitraux qui complètent ainsi « Un hommage à la Sainte- Trinité ». »
Vitraux : 3 baies du Chœur (120 x 263 cm, chaque en 4 panneaux), 9 m2.
Technique : Verre thermoformé de 8 mm et peints à l’émail et céments.
Ateliers Loire
Les Vitraux de la nef ont été réalisés par l’ Atelier Derix
Heures d’ ouverture
Du 01/01 au 31/12, tous les jours de 8 h à 19 h.
La cathédrale est ouverte tous les jours de 7 h à 20 h.
La reconstruction de la cathédrale se fit étape par étape et en dépit des dommages immenses et la restauration toujours en cours, l’église a rouvert ses portes en décembre 2014. L’architecte en chef, Richard Hurley, avait déjà travaillé avec le Père Kim pour les vitraux de l’ Oratoire Saint-Erc à Slane, il fit donc appel à lui pour la Cathédrale. Malheureusement il ne vit pas la fin des travaux car il mourut brutalement en 2011.
Les vitraux furent exécutés en deux phases : à l’est les vitraux furent terminés en 2014 et fin décembre 2016, ceux de l’ouest.
Les maquettes des vitraux peints sur toile, par le Père Kim ont été « reproduites » par l’atelier Derix Glasstudio à Taunusstein. Cela permet à l’artiste de se concentrer sur sa peinture, sa création en oubliant les aléas techniques du vitrail.
L’association Monsieur Vincent accompagne des adultes âgés ou des personnes handicapées de tout âge. Elle gère des établissements d’hébergement pour personnes âgées, et une maison pour l’autonomie et l’intégration des malades Alzheimer et dispense de nombreux services de soins et de soutien à domicile.
L’association a décidé d’entreprendre la rénovation ou la reconstruction de ses résidences pour les adapter aux besoins actuels de confort et de sécurité des personnes accueillies. La réalisation de la résidence Antoine-Portail, du nom d’un lazariste de la première heure et proche de saint Vincent, s’inscrit dans ce cadre. La résidence est installée dans un complexe architectural et paysager se développant autour de la maison mère de la congrégation de la Mission, fondée en 1817, ensemble remarquable du sud-ouest parisien.
C’est au deuxième étage de l’Ephad, réservé aux pères lazaristes, qu’est située la chapelle où est intervenu le père Kim, à la demande de la congrégation de la Mission. Pourvue d’une grande baie d’angle, en verre translucide, elle a reçu en seconde peau intérieure les verrières créées par l’artiste, orientées au nord-ouest et nord-est. Le 28 avril 2015 le père Kim a réceptionné les vitraux, réalisés par l’atelier Derix, ce qui lui a permis de saluer deux de ses frères dominicains, qui y vivent alors avec huit lazaristes, un carme et un sulpicien. L’artiste a travaillé à partir des vers de son ami François Cheng :
« L’heure est donc venue, Seigneur,
De dévisager la vie
Selon toi, non selon nous.
Accompagne-nous jusqu’au bout
Pour que rien ne soit perdu.
Mais toi, le perdu par nous,
Viendras-tu à l’heure, Seigneur ? »
La verrière nord-ouest a été réalisée en trois parties tandis que la verrière nord-est se compose de deux panneaux.
L’ensemble a été inauguré le 12 octobre 2015, peu de temps après que l’association Monsieur Vincent eut fêté son vingtième anniversaire.
Les vitraux ont été réalisés par les Ateliers Derix, à Taunusstein (Allemagne).
Vitraux : 12 baies (6 baies de 50 x 80 cm dans le chœur, 4 baies de 50 x 80 cm dans la nef, 1 baie au-dessus de l’entrée de 40 x 20 cm et 1 baie au-dessus de l’autel de 210 x 97 cm divisée en 3 panneaux). 6 m2
Technique : Verres thermoformés de 8 mm et peints à l’émail et assemblés en vitrage isolant.
Ateliers Loire
Contacts :
Tél : 33 (0)4 71 00 61 02 et 33 (0)6 72 79 84 96
Courriel : secretariat@aucoeurdelhomme.
http://www.aucoeurdelhomme.org
La Fraternité Bénédictine « Cœur de Jésus, Source de vie » s’est installée à Sereys le 11 juillet 2007. Elle y a institué la vie monastique selon la Règle de Saint Benoît marquée par la prière, le travail et l’accueil.
En ce mercredi 6 août 2014 avait lieu une messe présidée par Monseigneur Brincard, évêque du Puy. Lors de cette concélébration, il a procédé à la bénédiction des quatre vitraux.
Participaient à cette concélébration, le père Kim en Joong ; le père Hugues Minguet, bénédictin, responsable de la fraternité ; le père Gilles Pagès, supérieur provincial de France des Spiritains ; le père Patrice Missonnier, curé de l’ensemble paroissial de La Sainte Famille de l’Ance à l’Arzon ; le père Daniel Savelon, curé de l’ensemble paroissial Saint-Jean-XXIII aux sources de La Borne ; le père Paul Best.
Pour connaître les heures d’ouverture de l’église Saint-Rémi nous vous conseillons de téléphoner au : 01 43 76 75 56
Huit nouveaux vitraux-oculi ont été réalisés par le Père Kim En Joong, dans la poursuite des travaux de rénovation de l’église Saint-Rémi de Maisons-Alfort.
Pour cette rénovation, le Père a sollicité l’entreprise allemande Derix, qui a réalisé et posé ces vitraux dans la partie haute de l’église.
Inauguration des vitraux et le l’orgue
Pour organiser une visite de l’Eglise Saint-Martin, nous vous conseillons d’appeler la Mairie au 05 53 05 25 28
Ajat, petite commune du Périgord Noir de 300 habitants, a conservé son caractère pittoresque et authentique. Son église Saint- Martin, et le château qui la jouxte, veille sur le bourg depuis le XIIème siècle. Depuis plusieurs années cette église romane fait l’objet d’une importante restauration où la noblesse de la pierre domine, mais ce sont les vitraux qui lui redonnent ce supplément d’âme.
René Caffier, qui a restauré le château d’Ajat, a proposé le Père Kim en Joong pour réaliser ces vitraux. L’association « Les amis d’Ajat » a été créé, regroupant tous ceux qui étaient convaincus que cette proposition était une opportunité exceptionnelle. Elle a assuré la maîtrise d’ouvrage avec les Ateliers Loire et permis le financement par mécénat privé avec le support de la Fondation du Patrimoine. Aujourd’hui c’est une communion entre les vitraux des 10 baies et la beauté épurée de l’édifice. C’est une danse de couleurs qui se reflète sur le pavement et embrasures des baies. Ce sont des sources de lumière qui donnent un nouveau souffle à la vocation spirituelle du lieu.
Le vitraux furent bénis le 26 avril 2014 par Monseigneur Michel Mouïsse, évêque de Périgueux et de Sarlat, entouré des Pères Christian Miane, Jean-Marc Nicolas, Jean-Nicolas Sed et naturellement en présence du Père Kim En Yoong.
L’assistance a été chaleureusement accueillie par Monseigneur Mouïsse qui a donné le ton de cette journée : convivialité, recueillement et partage.
La chapelle de La Bâtiaz, dédiée à Notre-Dame de Compassion, occupe une place singulière dans l’environnement et dans la culture de la région. Ce petit sanctuaire est devenu, au fil des siècles, un lieu symbolique reconnu. Encore aujourd’hui la fréquentation de cette chapelle demeure, aujourd’hui encore un lieu de pèlerinage local, régional et même diocésain.
L’autel et son retable offrent un témoignage du baroque que fut le rococo dans le Valais. Une collection remarquable d’ex-voto du XVIIIème et XIXème siècle orne le mur droit de la chapelle.
Le lundi 15 septembre 2014 eut lieu dans la chapelle de La Bâtiaz, à Martigny en Suisse, l’inauguration des 7 vitraux realisés par le Père Kim En Joong, ceci grâce à l’initiative de Monsieur Leonard Gianadda et de la Fondation Pierre Gianadda (www.gianadda.ch).
La messe et la bénédiction des vitraux
Les vitraux ont été créés avec les Ateliers Loire.
Téléphonez au 027/722.22.82, afin de connaître les horaires d’ouverture en dehors de la messe du mardi à 19 heures.
Horaire des offices
Chaque jour :
8h30 : offices des lectures et des laudes
9h00 : eucharistie et confessions après la messe
16h30 : chapelet et salut au Saint-SacrementPremier vendredi du mois :
10h00 : prière conduite sur le thème de la récollection
11h00 : temps d’enseignement
12h00 : prière de midiDeuxième jeudi du mois :
Après l’eucharistie, adoration jusqu’à 17h
(prière pour le diocèse)Les dimanches et fêtes, à la Cathédrale
10h00 : eucharistie solennelle concélébrée
16h30 : eucharistie
Réalisation des vitraux de la cathédrale Saint-Paul de Liège aux Ateliers Loire
5 baies de 75 m2 créés de 2011 à 2013.
Verres peints émaux, céments et grisaille.
Cinq vitraux créés en 2013 par le Frère dominicain Kim En Joong ornent les chapelles Saint Joseph et Saint Lambert, sur le thème de la Lumière. Ils ont été réalisés par l’Atelier Loire de Chartres selon la technique du « flooting » (peinture sur verre comme un tableau, suivie de plusieurs cuissons).
Ces vitraux sont offerts à l’ Évêque de Liège et à sa cathédrale par l’abbé Michel Teheux et sa famille, en mémoire de leurs parents.
« Rencontrer le Père Kim En Joong, c’est entrer en silence. Nous devons « rester à l’essentiel » aime-t-il dire. des blancs entre les mots, un regard, un geste ou un souffle en suspens. Des gestes d’élan, d’émotion crue mais aussi comme retenus, juste osés.
Cette qualité de silence fait entrer dans la patience, dans l’attention à ce qui veut – ou peut – advenir. Comme si quelque chose d’essentiel avait envie de naître et demandait du temps jusqu’à la délivrance.
Le Père Kim est là, dans un fauteuil d’un autre âge l’enveloppant comme pour le protéger, assis devant une dalle de verre étendue, en corps à corps avec le sol, en attente d’être transigurée.
Il est là, seul au monde, pour laisser monter l’élan créateur, avec comme déjà un frémissement de plaisir, celui de ne pas savoir où on va.
Et puis, soudain – mais la gestation a pu durer parfois une journée entière de labeur – l’homme se dresse. Jeune. Comme poussé par une force non maîtrisable. Ressort enfin libéré.
Accroupi il épouse le terre à terre de la dalle de verre et là, trempant ses brosses grasses ou ses fins pinceaux, heritier des maîtres calligraphies du Soleil Levant, il jette la lumière pour apprivoiser l’incréé.
Comme le dit si bien Bruno Loire, Maître Verrier : « L’autre particularité de ce chantier se situe sur un plan humain. Le projet très important pour une si petite commune, a pu voir le jour grâce à la foi extraordinaire des membres d’une association et d’une municipalité enthousiaste, qui se sont mobilisés et ont su se fédérer.
En effet, une association a été créée en septembre 2010, à l’initiative d’une poignée d’habitants d’Orgnac-sur-Vézère, association en étroite concertation avec le maire Marcel Dandaleix, son adjointe Brigitte Marsac et le père Nicolas Risso, curé de la paroisse. Monsieur Jean Pouget en est le président.
Depuis sa création, l’association s’est attachée à :
. contribuer à l’élaboration de projets de financement présentés auprès de différents organismes, recueillir des dons par tous moyens.
. suivre le projet des vitraux qu’elle avait initié
. organiser des animations culturelles (concerts, soirées musicales, expositions, conférences),
. organiser des journées de bénévolat pour assurer des petits travaux de restauration et d’entretien,
. éditer des documents de présentation de l’église ainsi qu’un livre, développer ce site internet,
. sensibiliser les habitants et visiteurs à la beauté de cette modeste église,
. participer aux journées du Patrimoine.
L’oeuvre du Père kim pour Orgnac se compose de 11 vitraux travaillés sur un verre float de 8 mm d’épaisseur préalablement thermoformé et peint avec céments, émaux et grisailles, créés au sein des Ateliers Loire.
Le 9 juin 2007, lors de la fête qui marque les 80 ans de l’établissement, fut inauguré les premiers vitraux, fabriqués par les Ateliers Loire, pour la petite chapelle.
Vitraux : 2 baies de (250 x 175 cm), soit 7. 50 m2.
Technique : verre float de 4 mm, peints à la grisaille, céments, émail et jaune d’argent, double vitrage.
En 2013, dans le cadre d’important travaux d’extension et de restructuration de l’Ecole, une nouvelle chapelle plus vaste a été prévue. L’architecte Bernard Geyler en dessina, non seulement les plans, mais aussi le mobilier liturgique. Sur le tabernacle, le siège du président, le chandelier, l’ ambon… on peut admirer des verres peints et des céramiques effectués par le Père Kim En Joong.
La chapelle compte au total 20 vitraux qui ont été réalisés sans utilisation de plombs. Ceux-ci ont été créés dans l’ Atelier Derix Glasstudios installé à Taunusstein, en Allemagne.
7 céramiques décorent la façade intérieure gauche. Ces dernières ont été réalisées à la Faïencerie de Charolles, où le Père Kim créé toutes ses céramiques.
Ouverte : du lundi au vendredi 8 h-12 h 14-17 h – Sauf les jours fériés
Téléphone : 04 77 44 21 90
Pour la première fois, le Père Kim En Joong crée des vitraux pour un lieu laïc, 9 baies de 16 m2 de vitraux sont inaugurés le 6 février 2013, en présence du Maire de Mably Jean-Jacques Ladet et Monsieur Yves Perret architecte.
Technique : Verres incolores de 8 mm thermoformés et peints à la grisaille, émaux et céments
Vitraux réalisés par les Ateliers Loire.
Le Musée des Hospices du Grand-Saint-Bernard est ouvert tous les jours de : 10h à 18 h
Le vendredi 27 juin 2015 a été inauguré le nouvel espace accueillant le Trésor de l’hospice du Grand-Saint-Bernard. Cet impressionnant travail de mise en valeur de ce patrimoine culturel et spirituel a été entrepris par la congrégation des chanoines du Grand-Saint-Bernard
Kim En Joong avec les Ateliers Loire intègrent des peintures sur céramique et vitraux au milieu de ces objets d’art sacré dans une muséographie de Claire Pattaroni et Jean-Marc Hahling.
Les trois baies de 4m2 de verres incolores de 6mm peints à la grisaille, émaux et céments ont été crées en 2013.
Ouverte tous les jours de 10h à 12h et de 14h à 18h.
Saint-Pol de Léon, petite ville de 7200 habitants, est située dans le Finistère Nord, région de Morlaix et Roscoff.
Elle est riche d’un patrimoine historique exceptionnel car elle fut le siège d’un évêché jusqu’à la révolution. Elle possède en particulier une basilique du 13e siècle, ex cathédrale, ainsi que la chapelle du Kreisker réédifiée vers le 13e siècle et dotée d’une flèche au 14e siècle. Cette flèche culmine à 79 mètres (contre 68 mètres pour Notre Dame de Paris !) et elle est flanquée de clochetons de plus de 16 mètres.
La baie vitrée la plus grande, qui recevra le vitrail du Père KIM, fait environ quarante-cinq mètres carrés. La maçonnerie de dentelle de pierre, en mauvais état, a été restaurée au cours de l’été 2012.
La proposition du Père KIM a été retenue parmi plus d’une douzaine de projets. Le comité de pilotage chargé de la sélection comportait, outre l’architecte des bâtiments de France, des représentants de la paroisse, des élus de la commune et des agents communaux, des responsables de la commission d’art sacré diocésaine.
Le vitrail se compose de 187 panneaux de verre float de 6 mm d’épaisseur peints par le Père Kim aux ateliers Loire. De plus le verre n’étant pas trempé n’a pas eu besoin de grillage de protection. Céments, émaux et grisailles ont été peints par l’artiste sur les deux faces du verre.
Les sœurs de Marie Réparatrice possèdent huit communautés à Madagascar. Cette congrégation a été fondée par la bienheureuse Emilie d’Oultremont, en 1857.
Ce bâtiment pour la communauté de Tamatave a été conçu par l’Architecte Bernard Geyler, Président de l’Association Emilie d’Oultremont à Strasbourg. Le Père Kim En Joong, a réalisé trois vitraux pour la chapelle du rez de chaussée. Le mobilier liturgique a été offert par les Dominicains du Couvent Saint Dominique, à Paris, ancien siège des Editions du Cerf.
Le premier novembre 2013 avait lieu l’inauguration de ce nouveau bâtiment, en présence de Monseigneur Désiré Tsarahazana, Archevêque de Tamatave. Ce fut l’occasion de recueillement, mais aussi, de chants et de danses.
Le Père Kim En Joong n’avait pas pu se rendre à Madagascar, mais toutes ses pensées étaient ce jour là tournées vers la Communauté des sœurs de Marie Réparatrice.
Ouvert du lundi au vendredi de 14 h à 17 h.
Téléphone 05.46.82.34.25
Ateliers Loire : verres thermoformés de 8 mm peints aux émaux, grisaille et céments. 6 baies : 4 pour l’absidiole Nord et 2 pour l’absidiole sud ; 3.50 m2 au total.
L’ensemble Scolaire Françoise Cabrini est un Etablissement catholique de 2 300 élèves qui éduquent des enfants et adolescents de la maternelle au lycée général et technologique mais aussi comporte un lycée professionnel.
Enfin, elle dispense un enseignement culturel des religions et offre la possibilité d’approfondir sa foi.
C’est en 2012, avec les Ateliers Loire que le Père Kim, crée pour l’oratoire et la chapelle : une rosace et 6 baies.
Double vitrage de verres incolores de 6 mm peints à la grisaille, émaux et céments.
Pour visiter l’Eglise Saint-Pierre-et-Saint-Paul nous vous conseillons d’appeler la mairie au : 03 86 50 04 36
Diennes-Aubigny est une petite commune d’une centaine d’habitants dans la Nièvre. L’Eglise Saint-Pierre-et-Sain-Paul est un joyau de l’art roman du XIIème siècle. Elle a été inscrite au Monument Historiques en 1964
Sous l’impulsion de l’association « Perennité de l’Eglise » des phases de restauration ont lieu depuis 1996. Dans les années 2010, le projet de remplacer des vitraux de verre blanc par des vitraux contemporains voit le jour. Sous la houlette de son maire, Jean-Pierre Carré, le comité de pilotage choisit Kim En Joong.
L’ors de sa première visite de l’église le Père Kim resta le longues minutes en silence, impressionné devant les reflets de la lumière extérieure sur les pierres des murs. Voici la lettre qu’il envoya au comité de pilotage de cette restauration, après cette première visite :
« Comme pour toutes mes créations précédentes en peinture et en vitrail, je travaillerai de façon abstraite. Il n’y aura donc pas de représentations figuratives ou symboliques. Mes vitraux contribueront à l’atmosphère de recueillement et de spiritualité de cette belle église romane et non à illustrer une catéchèse.
Je compte avoir pour l’ensemble des baies une dominante chaude à base de jaune et de rouge. Cependant pour le choix des couleurs que j’utiliserai en complément des jaunes et rouges et par mon geste pictural, j’aimerais évoquer les thèmes suivants : le Christ pour les baies du chœur, où la gamme chaude sera privilégiée, et cette même gamme chaude pour les baies ouest, en réponse à celles du chœur, Le Magnificat et la Vierge pour la grande baie nord, avec une dominante rouge pour le Magnificat et quelques bleus pour la Vierge, un hommage à saint Pierre et saint Paul pour les deux grandes baies sud, avec toujours une dominante chaude accompagnée de touches de bleus, verts et violets, rendant hommage aux deux saints et enfin les quatre évangélistes pour les quatre baies romanes hautes du nord et du sud avec « une ronde arc-en-ciel ».
Comme pour mes précédents vitraux de Brioude et de Montceaux-l’Etoile, le travail de peinture sur verre utilisant des céments, émaux et grisailles, sera privilégié. Le verre support, un verre float de 6 ou 7 mm pourra être thermoformé de façon à donner une matière et premier graphisme au verre. Mon travail de peinture avec des pinceaux de calligraphie et un pistolet sera réalisé en atelier, plusieurs cuissons successives étant nécessaire pour réaliser l’œuvre. Les verres seront trempés pour les sécuriser et les rendre plus résistant aux chocs mécaniques et thermiques. »
Les 11 baies, 6 m2 ont été réalisés non loin de Chartres dans les ateliers Loire, qui ont aussi effectué leurs poses.
Le 8 juin 2013 eut lieu la bénédiction des vitraux par Monseigneur Thierry Brac de La Perrière, évêque de Nevers.
Quinze vitraux modernes et non figuratifs ont été imaginés par le père Kim En Joong, pour le couvent des dominicaines d’Ambert. Les ateliers Loire étaient évidemment à ses côtés pour la réalisation.
« Tout est allé très vite : il s’est agi d’un véritable coup de cœur du père Kim En Joong pour la chapelle. Il est venu s’imprégner des lieux, invité par la sœur Catherine-Dominique, supérieure générale de la congrégation dominicaine de Marie-Immaculée. Il a été de suite inspiré et nous a fait part de son enthousiasme. C’est un grand honneur que cet artiste, de dimension internationale, ait réalisé ces vitraux », confiait le père Alain Théallier, curé d’Ambert.
Marie-Edwige Hebrard
Sœur Catherine prieure du Couvent des dominicaines d’Ambert : « Je pense que quand on a une âme dominicaine il y a cette contemplation de Dieu en nous qui aide à comprendre toute cette beauté, vous voyez la beauté de la création d’abord. Je suis au milieu de la beauté de l’œuvre du Père Kim, une œuvre qui nous est offerte. Je suis très consciente que nous sommes vraiment gâtées par l’artiste et cette lumière, ces couleurs m’ont élevées, et je me suis dit mais c’est tout à fait le reflet de la beauté, de la création et de la beauté du créateur même, tellement cela vous élève, c’est quelque chose qui vous élève, je ne peux pas vous expliquer. »
Depuis, le Père Kim En Joong, passe de longs séjours à Ambert, oû il travaille à de nouveaux projets. Il possède là-bas un atelier et partage la vie des soeurs dominicaines.
2011 : Chapelle du 19ème sicècle, 9 baies, verres de 6 mm peints.
Crypte du 19ème, 6 baies, verre de 8mm thermoformés
2012 : Chapelle du 20ème, 5 baies, 10 panneaux de verres de 6 mm peints, assemblage en vitrage isolant, 9 m2.
Prier avec les frères
Les offices, messes et prières sont accessibles à toutes et tous.Du lundi au vendredi :
Laudes à 8 h
Messe à 19 h
Vêpres à 18 h
A Louvain-la-Neuve, les Frères Dominicains ont décidé de construire le Couvent Fra Angelico. Un couvent à l’architecture contemporaine, près de la cité universitaire.
Un projet des architectes Gery Despret et Benoît Gillon a su plaire à la communauté. « Lorsque l’on a décidé de venir s’installer à Louvain-la-Neuve, nous avons fait appel à quatre bureaux d’architectes. Trois du Brabant wallon et un de Bruxelles. L’un de ces bureaux nous a juste soumis une idée, celle d’une chapelle en forme d’œuf. Elle nous a directement plu », explique Stéphane Braun, prieur du couvent et lui-même architecte qui a collaboré à la construction de ce bâtiment.
Ici, les frères ont voulu aller le plus loin possible dans les économies d’énergie : récupération de l’eau de pluie, ventilation mécanique, isolation maximale…
Inauguré en 2010, l’immeuble est composé de deux parties : le couvent à proprement parler, et la chapelle. Cette dernière se présente sous la forme d’un œuf haut de dix mètres. Opaque le jour, elle devient translucide une fois la nuit venue.
Dans cette chapelle, le père Kim a créé 5 vitraux dont une croix, toujours avec l’atelier Loire.
HEURES D’OUVERTURE
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1er Novembre – 31 Mars : 10h00 – 12h30 / 13h30 – 17h00
1er Avril – 30 Juin : 10h00 – 18h00
1er Juillet – 31 Août : 9h30 – 19h00
1er Septembre – 31 Octobre : 10h00 – 18h00
C’est par l’intermédiaire du chœur grégorien auquel appartenait le Père Kim que ce dernier connut l’abbaye de Fontfroide. Venu pour les fêtes de Pâques, il y passa tout l’été à méditer et à peindre.
Il s’en suivit une exposition de tableaux, puis les travaux de réhabilitation de la chapelle des morts prenant fin, tout naturellement le Père Kim fut choisi pour réaliser les vitraux.
2 baies en plein cintre (75 x 200 cm), 1 baien en pleint cintre de (80 x 155 cm) et un occulus (diamètre 100 cm), pour 5 m2.
Technique : Verres incolores peints à la grisaille, émaux et céments, trempe des Verres.
Ateliers Loire
La collégiale est ouverte de fin octobre à fin mars de 8 h 30 à 17 h et le reste de l’année de 8 h 30 à 19 h.
La collégiale Saint-Thiébaut de Thann est un des fleurons du gothique rhénan en Alsace. Construite de la fin du XIIIe au début du XVIe siècle, la collégiale est illuminée par le plus vaste ensemble de vitraux du XVème siècle existant en Alsace.
Ce nouveau vitrail fut possible grâce au legs de Monsieur et Madame Fischer, en 2002, qui souhaitaient que leur don soit réservé à la réalisation d’un nouveau vitrail dans cette église.
Le vitrail monumental de 20 m2, fut enchâssé dans son écrin de pierre, par Bruno Loire, des Ateliers Loire, remplaçant ainsi l’ouverture béante.
« L’art gothique, par sa verticalité architecturale, source de la luminosité des vitraux, donne un avant-goût du Ciel. Lors de ma visite dans cette église, j’ai été très impressionné par le vide de cette baie qui prend une place si importante dans l’édifice ; en y réfléchissant, l’idée que cet espace pourrait être une synthèse de la riche atmosphère du lieu s’imposait à moi. Ainsi à la place du vitrail disparu pour traiter le thème du jugement Dernier j’ai imaginé la présence d’une lumière trinitaire, accompagnant le visiteur qui, en quittant cette église, conserverait longtemps la vision de cette réalité d’en haut ; si le Jugement Dernier est fait pour ceux qui refusèrent cette lumière, Dieu miséricordieux ne peut pas perdre un seul de ses enfants ; malgré tout, il illuminera ainsi les pas de celui
Le rouge, c’est la naissance, l’esprit, la passion ; le jaune, la joie, la lumière ; le bleu, l’espérance, la pureté ; la diffusion de ces trois couleurs se veut une recherche en permanence de l’unité qui enveloppe tout l’univers ; ma propre technique du vitrail, sans l’usage du plomb, sans statique, rejetant par là même le noir du quotidien, aide à magnifier cette idée de l’unité par la lumière.
Mon travail artistique ne repose donc pas sur un souci narratif ou décoratif comme celui qui fut accompli en ce domaine sacré par Matisse ou Chagall. Non, il s’agit pour moi, depuis des décennies, de la recherche d’un autre langage éloigné des réalités premières, animé d’un désir profond de continuer à chanter par mes couleurs la gloire de Dieu, et de fixer ainsi au sein des pierres une parcelle d’éternité. »
Père Kim En Joong
Vitrail : 1 baie de la façade ouest, 18 m2 (6.20 x 3. 85 m).
Technique : Verres incolores 6 mm peints à la grisaille, émaux et céments et trempe des verres
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Entrée libre – Tous les jours de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h 30
Renseignements : 04.71.74.97.49
Afin de pouvoir visiter l’église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, nous vous conseillons de prendre contact avec la mairie.
Tél : 03 85 25 14 85
Lundi 9 h – 12 h
Jeudi et Vendredi 13 h 45 – 17 h
Montceaux-L’Étoile est une petite commune de Saône-et-Loire de 250 habitants.
L’église Saint-Pierre-et-Saint-Paul domine la vallée de l’Arconce. Cet édifice appartient à un ensemble exceptionnel d’églises romanes du XIIème siècle, réparti dans tout le Brionnais. Elle est inscrit aux Monuments Historiques en 1893
Sept vitraux de Kim en Joong, souhaités et commandés par la municipalité, et par l’association des Amis de Montceaux-l’Étoile, sont posés à la fin du chantier par les Ateliers Loire, famille de Maître Verrier : trois au nord, trois au sud, et la dernière surmontant le portail occidental.
Le Père Kim a particulièrement apprécié de travailler pour cet édifice : « J’ai la nostalgie de la simplicité de l’art roman. Mes vitraux iront dans le sens de cette simplicité ; ils seront sans figures, aux couleurs très simples, souvent primaires. Les vitraux doivent faire chanter les pierres, je voudrais qu’ils soient un Benedictus et un Magnificat continuels. Le vitrail est l’œil d’une église, celui-ci doit être vigilant et transmettre la lumière. »
Technique : Verres incolores peints à la grisaille, émaux et céments.
L’Architecte Richard Hurley, mort prématurément en 2011, raconte sa rencontre et ses collaborations artistiques avec le Père Kim En Joong. L’architecte s’était déplacé aux ateliers Loire, à côté de Chartres afin de voir les essais du Père Kim. Ce dernier avait choisi des verres préalablement thermoformés, présentant un relief très visible, puis peints par l’artiste avant la cuisson..
Le Père Kim avait déjà expérimenté cette technique qu’il a reprise ici en la développant considérablement. L’architecte, venu voir les essais aux ateliers Loire à Chartres, a apprécié et abondé dans le sens du verrier.
« C’est le feu père Austin Flannery, o.p. qui m’a présenté au Père Kim En Joong. C’est en grande partie grâce à lui que l’œuvre de Kim a été introduite en Irlande et ailleurs. Mon premier ouvrage en collaboration avec Kim est une grande peinture murale démontable, située derrière le sanctuaire de la chapelle Honan rattachée à l’université de Cork. Il a été suivi, en 1999, d’une peinture saisissante entourant le tabernacle de l’oratoire Sainte-Marie de l’institut universitaire Saint-Patrick de Maynooth dans le comte de Kildare. Puis d’autres ouvrages ont suivi, notamment une fresque de sanctuaire de 5 m de haut à Drumbo dans le comté d’Antrim en 2001.
La première commande de vitraux que j’ai confiée à Kim était ceux de l’oratoire de Saint Erc à l’église Saint-Patrick de Slane dans le comté de Meath ; Ce fut sur la colline de Slane, selon les anciens manuscrits, que saint Patrick alluma le feu pascal en l’an 433. La tradition attribue la fondation du monastère d’origine de la colline de Slane au disciple de saint Patrick, saint Erc. Le monastère exista pendant six cents ans et fut pillé par les Danois en 1002. Il fut finalement complètement détruit en 1175 par les Normands, et l’église cessa d’être utilisée comme lieu de culte en 1723. La première pierre de l’église cessa d’être utilisée comme lieu de culte en 1723. La première pierre de l’église catholique actuelle de Chapel Street fut posée en 1798. L’inscription Mount Charles Chapel 1802 » est gravée sur une plaque de pierre située au-dessus de la porte ouest. Le projet actuel comprend la rénovation et la réorganisation liturgique complète de l’église (bâtiment classé), la démolition de diverses annexes et la construction de l’oratoire Saint-Erc, ainsi que la construction d’une nouvelle sacristie, d’espaces auxiliaires et d’un nouvel escalier interne d’accès aux galeries vitrées rénovées.
J’ai donné à Kim le thème de la Passion du Christ, les effets de lumière naturelle au sein de la chapelle ont été spécialement conçus pour le verre. La lumière vient du haut et se reflète sur le mur dans la fresque sur verre de Kim. A l’origine, je voulais que la peinture soit faite sur carreaux de céramique, mais Kim m’a suggéré de la faire sur du verre ! Ma collaboration avec Kim s’est approfondie au fil des ans pour devenir une grande amitié issue d’une vision partagée de la réalité qui se cache derrière les apparences. Cela ne me surprend pas que Kim s’intéresse maintenant principalement au mystère contenu dans la lumière. »
L’ensemble paroissial se présente sous la forme d’un cube dans lequel sont groupés le sanctuaire, le presbytère et de nombreuses salles à usage divers. Il ressemble aux H.L.M. du quartier, aux grands ensembles qui l’entourent, aux usines modernes des environs. Mais la croix et le campanile de l’entrée rappellent le caractère sacré de l’édifice.
Le Père Kim a tenu à ce que les anciennes menuiseries, trop imposantes, soient déposées.
Les nouveaux vitraux, réalisés dans l’atelier Loire, s’insèrent désormais dans de fines menuiseries métalliques qui permettent à la lumière d’entrer le plus généreusement possible.
La grande hauteur de chaque verrière a cependant nécessité une composition tripartite qui évoque la Trinité.
Le Père Tadeusz a laissé à Kim en Joong la plus grande liberté dans l’interprétation du programme de départ. Il estime que les 12 verrières ont métamorphosé toute l’atmosphère de l’église. L’architecture austère s’est éclairée et ouverte encore plus largement. La paroisse, populaire et très vivante, accueille désormais 1200 personnes pratiquantes dont 400 polonais.
Ouvert tous les jours de 8 h à 19 h.
L’Oratoire de la Sainte-Face est un sanctuaire du diocèse de Tours. Il est situé dans l’ancienne maison du « saint homme de Tours », Mr. Léon Papin-Dupont (1797-1876)
L’Adoration nocturne à l’oratoire de la Sainte-Face remonte au 2 février 1849 et elle ne s’est interrompue que pendant la Seconde Guerre Mondiale.
Établie par M. Dupont, en prolongement de ce qui existait, un an plus tôt à Notre-Dame-des-Victoires à Paris, elle était à l’origine entièrement tournée vers l’idée de « réparation ».
Ce lieu fort, qu’est l’oratoire de la Sainte-Face, a été confié par Mgr Aubertin, archevêque de Tours, aux Dominicains qui y ont officiellement installé leur couvent à l’occasion du Triduum de la Sainte-Face, les 4, 5 et 6 février 2008.
Téléphonez au 04 71 50 82 00 afin de connaître les heures d’ouverture de la Chapelle
Maison de retraite tenue par des sœurs dominicaines
Vitraux : 9 baies de 8 m2
Technique : Verres incolores de 8 mm peints à la grisaille, émaux et céments, mis en double vitrage avec verres feuilletés.
Ateliers Loire
Téléphonez au 02 41 95 32 15 pour connaître les jours d’ouverture de l’église
L’église Saint-Martin date du XIème siècle et a été inscrite aux Monuments Historiques en 1969
Vitraux : 1 baie occidentale de 6 m2, 2 lancettes de 80 x 380 cm)
Technique : Verre incolore peint à la grisaille, émaux, céments et jaune d’argent puis en plomb
Ateliers Loire
Technique : Verre incolore 6 mm peint à la grisaille, céments et jaune d’argent
1 baie, 2 m² (150cm de diamètre)
Ateliers Loire, Lèves France
Crypte Saint-Fulbert – Chapelle Sainte-Catherine
Horaires d’ouverture : de 8 h 30 à 19 h 30 tous les jours de l’année
Mardis, vendredis et dimanches de juillet et août jusqu’ à 22 heures
À l’occasion du millénaire de Fulbert de Chartres, le Père Kim a ainsi pu rendre hommage par ses vitraux à cet évêque bâtisseur de Chartres, et dit à propos des baies de la chapelle Sainte-Catherine : « Elles sont un hommage à Saint Fulbert selon une libre interprétation. »
« Le vitrail doit nous parler sans paroles et s’adresser à la qualité de l’être humain qui veut recevoir la lumière éternelle. »
C’est pour l’une d’elles, exposée au sud-est et dédiée à sainte Catherine, que le Père Kim a alors créé, avec les Ateliers Loire, un ensemble de deux baies de 7, 54 m2, commandées en 2005.
Technique : Verres de 6 mm, émaux grisailles et céments, verre dépoli Debitus
L’architecte, Jacques Bellocq, a conçu ces aménagements récents et dessiné une chapelle pour les résidents. Il avait rencontré et travaillé avec le Père Kim lors de la création des vitraux du monastère des dominicaines de Dax en 2001
Une seconde collaboration a ainsi pris forme à Cauneilles, avec les Ateliers Loire.
Vitraux 2 baies de 65 x 137 cm, pour 2 m2
Technique : Verre incolore 6 mm peint à la grisaille, céments et jaune d’argent, trempe des verres peint, double vitrage.
Parmi tous les bâtiments du monastère, seule l’église se visite.
En dehors des heures réservées aux offices, l’église est ouverte mais n’est pas accessible dans sa totalité.
Les visites complètes sont possibles chaque après-midi du Mardi au Dimanche inclus, entre 15 h 00 et 17 h 00. (excepté durant la retraite des moines à la mi-janvier).
Vous pourrez également admirer les merveilles de l’architecture romane et les vitraux du Père Kim En Joong.
Il est également possible de voir le cloître à partir de l’église, grâce à une baie vitrée qui y donne directement accès. Les autres bâtiments du monastère ne sont pas accessibles aux visiteurs pour ne pas perturber la vie monastique de la communauté.
L’édifice est éclairé, au sud, par des baies de plein cintre, ouvertes dans chacune des 3 travées de la nef, et dans le bras du second transept, à l’est, par des ouvertures placées dans l’axe de l’abside et de chacune des deux absidioles, et à l’ouest par l’oculus surmontant le portail de la façade occidentale.
Les moines, leur père abbé René-Hugues de Lachaisserie et l’architecte des Monuments Historiques œuvrèrent de concert pour choisir un peintre qui concevrait de nouvelles verrières.
De nombreux artistes furent pressentis et des projets esquissés sans être retenus. Le père abbé s’était entre-temps rendu à Rome et avait séjourné à Sainte-Sabine. Les vitraux, que le Père Kim y avait réalisés, le convainquirent alors de faire appel à l’artiste coréen.
Le Père Kim, avant de créer les vitraux, a séjourné au monastère. Il a partagé la vie des moines bénédictins et a observé les effets de la lumière dans l’église. Il s’est ensuite mis au travail dans les ateliers Loire.
Chaque baie se compose d’une plaque unique, à l’exception de la rosace située derrière l’orgue divisée en neuf partitions.
Inaugurés en 2006, les vitraux de Kim en Joong sont pour la communauté de Ganagobie, « Une invitation à voir au-delà ou plus loin. Ils s’offrent à nos regards en signe d’une surabondance généreuse, qu’on peut nommer grâce ou gratuité. Ils sont, dans un univers mesuré, calculé, compté, la promesse déjà réalisée d’un monde libre, gratuit et harmonieux ».
Vitraux : 8 baies dont 1 rosace de 12 m de diamètre et 8 baies romanes pour 8, 50 m2.
Technique : Verres incolores de 6 mm, émaux, céments, grisaille et jaune d’argent.
Ateliers Loire
Le monastère est incrit au Monument Historique depuis 1946 pour l’église et 1988 pour le prieuré.
Pour connaître les horaires d’ouverture merci de téléphoner au 04 77 54 41 26
1 baie pour la chapelle du baptistère, 2. 80 m2 (240 cm x 120 cm)
Technique : Verre incolore 6 mm, peint à la grisaille, émaux et céments.
Ateliers Loire
Eglise ouverte tous les jours de 8 h 30 à 20 h
Le Père Kim connait bien l’église Saint-Joseph-Artisan, car il fut l’un des aumôniers des Sœurs Servantes des Pauvres, installées dans le bâtiment attenant à l’église. Il célèbre, chaque dimanche, la messe dans leur chapelle et rencontre ainsi le Père Pierre de Parcevaux, curé de la paroisse. Celui-ci lui fait part de ses questions concernant les vitraux de l’église pour la plupart endommagés.
Le Père Kim propose alors au prêtre d’offrir son travail à la paroisse et d’imaginer une suite de 5 vitraux pour le bas-côté. Le chantier est confié aux Ateliers Loire
Le Père Kim a adopté pour ces 5 baies, 5 couleurs différentes et bien distinctes, une pour chacun des 5 continents. Inspiré, dit-il, par les 5 vierges sages de l’évangile : « Je souhaite que les visiteurs recueillent des fruits de paix. La structure, elle, voudrait être un Sursum Corda, comme un arbre qui pousse vers le ciel. Pour ne pas réduire la richesse du mystère divin, je préfère éviter une figuration directe qui risque toujours d’interdire l’accès à l’essentiel. Ce que l’on voit, ce que l’on touche, est de la terre. L’invisible, l’impalpable, conduit à l’autre rive. Que ces 5 vitraux soient comme un reflet de cette lumière céleste qui brûle en nous et envahit notre cœur. »
D’ est en ouest, les verrières déclinent leurs couleurs, des émaux peints sur des verres industriels transparents.
La première d’un bleu gris laisse apparaître un peu de jaune pour l’espérance et la pureté.
La deuxième, au jaune majoritaire structuré de noir, annonce la Résurrection et la joie.
La troisième laisse une large place au noir avec un peu de jaune pour la sobriété et l’évocation de la mort.
La quatrième, verte, symbolise la paix et la persévérance.
La cinquième, rouge, affirme la passion et l’Esprit Saint.
Vitrail : 5 baies de 86 x 275 cm), soit 11. 80 m2
Technique : Verres incolores, peints à l’émail, grisaille, céments et jaune d’argent.
L’école Quinn School of Business est rattachée à l’University College of Dublin, qui, depuis 150 ans, forme l’élite du pays. L’université, préalablement installée au centre de la ville de Dublin, s’est agrandie ces dernières années et s’est dotée de nouveaux bâtiments organisés autour du campus Belfield, situé à quelques kilomètres du centre.
Dans l’un de ces bâtiments, dessinés par le cabinet d’architecture RKD Architects, une vaste rotonde largement vitrée abrite une salle de méditation destinée aux étudiants et à leurs enseignants.
À l’entrée de la salle, un texte du Père Kim accueille les visiteurs :
« Dans la salle de méditation, j’ai utilisé des couleurs symboliques pour mon travail de peinture et pour les vitraux. La forme circulaire de la salle rappelle l’idée de la perfection et de l’unité. L’un des tableaux reflète la succession des quatre saisons par le choix de quatre couleurs prédominantes.
L’autre peinture se compose des trois couleurs primordiales de la lumière et rend un hommage au Créateur.
Les vitraux, où prévalent le bleu dans l’un et le rouge dans l’autre, nous invitent à contempler le ciel et la terre.
J’espère que les visiteurs ressentiront la joie, l’harmonie et l’espace, qui les transporteront dans un autre monde, un monde immuable. »
La salle de méditation de la Quinn School of Business est aussi l’occasion de considérer dans le même espace, un travail sur verre et sur toile que le peintre aborde de la même manière. En effet, 7 toiles de grandes dimensions occupent les murs opaques et deux verrières éclairent cette salle.
Située en bord de route entre Bénodet et Fouesnant, elle a été l’église paroissiale de Bénodet jusqu’en 1878. Sa partie romane fut édifiée au XIe siècle. L’église est inscrite aux Monuments Historique depuis 1916.
L’enclos qui entoure l’église fut un ancien cimetière. Son calvaire, restauré en 1989, représente Saint Laurent et Sainte Brigitte les deux saints à qui est dédiée cette église. La statuaire, l’autel et les vitraux ont été restaurés et présentent une polychromie de grande qualité.
L’église se visite durant les vacances scolaires le samedi, dimanche et lundi.
10h à 13h et de 14h à 18h.
Oculus Eglise Sainte-Brigitte du Perguet
Le Père Kim a d’abord réalisé le vitrail du chœur et les deux verrières du transept.
En 2003, l’association « Paotred Perguet » a pu, de nouveau, réunir un budget pour continuer l’œuvre débutée trois années auparavant. Il s’agissait alors de créer les vitraux des six baies hautes de la nef, d’un oculus et d’une fenêtre du bas-côté sud.
Pour le Père Gusti Hervé, prêtre de la paroisse, le programme a été respecté au-delà de ses attentes. Il a écrit un texte pour cette réalisation, le premier chantier où le Père Kim va créer l’ensemble des vitraux d’une église:
« …. Kim En Joong a su embellir Perguet en le servant et en le respectant. Il a fait cela de manière personnelle : des moments de découverte, d’appréhension sous des angles et des lumières différents, des bribes de conversation aussi, et puis soudain, des temps assez courts d’intense concentration et recueillement, d’où naissent par la suite quelques suggestions d’un travail possible. Nous avons parlé du double vocable de sainte Brigitte et de saint Laurent en ce lieu. Double face du même mystère : contemplation et action, vie de carmélite et mort douce pour l’une, vie de service des tables et du livre pour l’autre, rassemblés dans l’unique gloire de la Trinité.
Les six petites fenêtres hautes de la nef romane- on pourrait presque dire minuscules, celles du sud tout particulièrement- donnent un maximum de lumière grâce à leur ébrasement intérieur très réussi. Travail peut-être plus difficile encore de créer des vitraux qui respectent l’architecture, laissent passer la maximum de lumière et soient, dans leur différence, en continuité avec les vitraux déjà en place. C’est presque une ligne identique à celle qui avait créé l’harmonie entre la partie romane et la partie gothique…. »
Vitraux : 3 baies dans le choeur avec intégrations d’éléments anciens (3 armoiries des familles Bodigneau, Fouesnant et seigneur Juch) pour 11 m.
En 2002, 8 baies : 6 baies de la nef, 1 baie à droite de la porte d’entrée et un oeil de boeuf.
En 2005, restauration de la baie basse côté sud suite à un vandalisme.
2006 : 1 baie d’un m2.
Technique : Verres de couleurs et plomb peints aux émaux, à la grisaille noire et céments.
Ateliers Loire
Horaires des Offices
Laudes 7.30 Messe 8. 00
Dimanche 9.00 Heure Médiane 12.00 Vêpres 17.30 Complies/Vigiles 20.30
Depuis 1998, le monastère Saint-Dominique situé à Dax compte une trentaine de sœurs. Cette congrégation résulte de l’ unification de quatre communautés : Clairefontaine en région parisienne, Saint-Martin de Hinx et Dax dans les Landes, et Pellevoisin dans le Berry.
La chapelle, qui date de la fin du XIXe siècle, avait été restaurée mais les vitraux étaient restés tels quels, pour la plupart constitués de verre dépolis.
Les moniales du monastère Saint-Dominique ayant eu connaissance des œuvres picturales du Père Kim, acceptent avec enthousiasme la réalisation du programme complet des vitraux ; le tandem Père Kim et Monsieur Bruno Loire, des Ateliers Loire, pour la réalisation et la pose des vitraux.
Quinze vitraux sur le thème du Jaillissement du buisson ardent, soit 20 m2 sont installés entre le chœur, la nef et le mur d’entrée, voir la vidéo ci-dessous.
Technique : Verres peints aux émaux, à la grisaille noire et céments puis fractionnés suivant le graphisme du Père Kim. Quelques pièces sont remplacées par d’autres types de verres puis assemblage au plomb et mise en double vitrage.
L’ Eglise du couvent Sainte-Sabine peut être visitée, mais vous ne pourrez voir les vitraux du Père Kim En Joong dans la salle capitulaire
Lettre du Père Thimoty Radcliffe, maître général de l’Ordre des Prêcheurs entre 1992 et 2001 à l’attention du Père Kim.
Mon Cher Frère Kim
Avec joie j’ai reçu la nouvelle de ta disponibilité pour laisser un échantillon de ton œuvre d’art dans notre salle capitulaire dont tu connais très bien la valeur historique. Dans cette salle, il nous est dit que notre Père Saint Dominique a donné l’habit à Saint Hyacinthe de Pologne et à son frère le Bienheureux Ceslas.
Dans ce lieu la communauté de Sainte Sabine se réunit chaque jour pour y célébrer l’Office Divin aussi bien que pour la célébration des chapitres réguliers. C’est un lieu très respecté et aimé de nous tous.
Je suis sûr que ton grand talent artistique et l’affection que tu as pour ce lieu seront ta meilleure inspiration pour chercher une solution vraiment artistique, tout en tenant compte du lieu lui-même et des actes qui y sont célébrés par la communauté. Merci beaucoup de ta grande générosité.
Je t’embrasse très fraternellement
Thimothy Radcliffe, o.p.
Vitraux : 4 baies insérées dans des boîtes lumineuses (289 x 86 cm).
Technique : Verres de couleurs peints à la grisaille, émaux et céments.
Ateliers Loire
Technique : Verres peints aux émaux, à la grisaille noire et cémants puis fractionnés suivant le graphisme du Père Kim ; quelques pièces sont remplacées par d’autres types de verres puis assemblage au plomb.
Deuxième tranche 2003 : Chapelle 6 baies de 6 m2
Ateliers Loire
En 1988, conquis par les édifices religieux déjà réalisés par Botta, Monseigneur Guy Herbulot, évêque d’Evry et président de l’Association diocésaine, lui demande d’édifier la cathédrale.
Le monastère dominicain Sainte-Catherine-de-Sienne a été fondé en Irlande 1722. Suite à un incendie dévastateur la communauté a décidé de construire un nouveau couvent à côté de la ville de Drogheda.
Ces sœurs contemplatives vivent dans le silence et la prière.
Les vitraux de l’église du couvent sont contemporains de la cathédrale d’Evry ; ce sont les deux premières collaborations entre le Père Kim et les Ateliers Loire.
Technique : Verre antique sertis de plomb peints à l’émail.
6 baies de 20 m2
Afin de connaître les heures d’ouverture de l’église, téléphonez au 05 45 91 29 33
Chapelle
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Chapelle
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Chapelle
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Chapelle
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Chapelle
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Oratoire
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Eglise
Chapelle
Chapelle
Eglise
Eglise
Eglise
Université
Eglise
Chapelle
Chapelle Capitulaire
Eglise
Cathédrale
Eglise
Eglise