Contacts :
Tél : 33 (0)4 71 00 61 02 et 33 (0)6 72 79 84 96
Courriel : secretariat@aucoeurdelhomme.
http://www.aucoeurdelhomme.org
On accède à l’église par une volée de marches formant un perron. L’édifice présente une nef unique à trois travées, et un chœur moins large d’une seule travée, dont le chevet est plat. La nef est barrée par un transept saillant. Le clocher, accessible depuis l’extérieur et depuis la nef, est excentré lui aussi côté sud-ouest.
Construit entre 1602 et 1613 par François de Kergroadez, seigneur du lieu, le château de Kergroadez est mis en vente en mai 1789. La Révolution survient, le 14 juillet, avant qu’un acquéreur ne se soit présenté, empêchant la réalisation du projet. Les années passant, le manque d’entretien, les vols de matériaux récurrents, puis les ventes en biens nationaux des différents lots de menuiseries, charpentes et sols, ont eu raison de la salubrité de l’édifice. La propriété passera en de nombreuses mains au cours des XIXème et XXème siècles jusqu’à son acquisition par la famille Jaclin en l’an 2000. Séduits d’emblée par le château classé Monument historique en 1995, son environnement et la géographie de cette pointe bretonne, leur projet est de restaurer l’ensemble du domaine pour en faire un lieu vivant et ouvert à tous.
Téléphonez au 02 41 95 32 15 pour connaitre les heures d’ouverture de l’église.
Construite en grès du pays l’église Saint-Martin-de-Vertou et son clocher pointu couvert d’ardoises signalent le village à la ronde. Excentré sur le côté sud, le clocher surplombe une tour carrée du XIIIe siècle, épaulée de quatre contreforts. Du XIe siècle sa nef romane unique, couverte par un berceau brisé en lambris. Le chœur à deux travées, du XIIe siècle, est de style gothique angevin dit aussi Plantagenêt. Il est couvert par des voûtes à multiples nervures. Sur les panneaux sculptés de la chaire, en chêne du XVIIIe siècle, sont représentés les quatre évangélistes : saint Luc et le taureau, saint Marc lisant aux côtés de son lion, saint Matthieu et l’homme, saint Jean et son aigle. Sur le dossier de la chaire, saint Jean-Baptiste en aube porte l’agneau.
Jusqu’au XIIe siècle, la ville s’est développée en plaine, autour de la première cathédrale et du palais épiscopal, où elle subit plusieurs invasions dues aux conflits entre les comtes de Toulouse et les évêques successifs. Au XIIIe siècle, la population va chercher refuge sur le rocher, au pied du château, lequel, construit par les comtes de Toulouse, est devenu propriété papale. C’est dans ce contexte que va prospérer en territoire pontifical la ville médiévale qui subsiste aujourd’hui.
La haute-ville s’est ainsi organisée autour du château, construit en 1195 par Raymond VI, comte de Toulouse, et il faudra attendre le XVe siècle pour que le chapitre cathédral et la communauté de Vaison décident de construire dans la haute-ville une église paroissiale. Cette édification impliqua la volonté ecclésiastique de transférer dans la ville intra-muros une partie des fonctions cathédrales, mais non l’abandon des édifices religieux de la plaine.
Le tribunal d’instance ayant cessé ses activités en 2015, le bâtiment abrite désormais les bureaux du Trésor Public et le centre des Impôts. L’ancienne salle des audiences, qui servait exceptionnellement de salle de réunion, accueille depuis 2019 le « Passage Kim En Joong ». Cet espace est né d’une rencontre, en 2017, entre le peintre et Myriam Fougère, alors maire de la commune. Kim En Joong avait proposé de faire don de quelques-unes de ses œuvres pour qu’elles soient exposées à Ambert, souhaitant un lieu non pas religieux mais profane.
Kim En Joong a choisi de présenter, au Passage, des céramiques de grande taille réalisées dans les locaux de la Faïencerie de Charolles, des toiles, des cartons peints, des peintures sur verre, un ensemble de créations qui se distinguent de l’œuvre sacrée. Les céramiques ont été réalisées à Charolles. La maquette des vitraux a été peinte sur toile à Ambert.
La basilique de Paray-le-Monial fut consacrée en 977, puis placée sous le vocable du Sacré Cœur depuis 1875. Elle est classée au titre des Monuments historiques depuis 1846. C’est dans cette ville, et au cœur de ce riche patrimoine, qu’une congrégation de dominicaines est venue s’installer à la fin des années vingt.
Sœur Marie de l’Esprit-Saint, sous-prieure de la communauté raconte ainsi l’intervention de l’artiste : « Le père Kim venait assez régulièrement au monastère depuis quelques années. Il travaillait la céramique dans un atelier de Charolles, à une dizaine de kilomètres du monastère. Il logeait donc chez nous, et souvent, célébrait sa messe seul, soit le matin de bonne heure, soit à midi. »
Vitraux : 3 baies du Chœur (120 x 263 cm, chaque en 4 panneaux), 9 m2.
Technique : Verre thermoformé de 8 mm et peints à l’émail et céments.
Ateliers Loire
Les Vitraux de la nef ont été réalisés par l’ Atelier Derix
Heures d’ ouverture
Du 01/01 au 31/12, tous les jours de 8 h à 19 h.
En Puy-de-Dôme, Loubeyrat est une commune rurale auvergnate. De nos jours, ce village se réunit autour de l’église, dont la construction remonte à la seconde moitié du XIXe siècle. Les Petites Sœurs infirmières des campagnes de Loubeyrat vont ainsi soigner et accueillir dans la Maison Saint-Jean-Baptiste un grand nombre d’infirmes et de personnes indigentes, puis des retraités, avant que la maison devienne une Ehpad.
L’association Monsieur Vincent accompagne des adultes âgés ou des personnes handicapées de tout âge. Elle gère des établissements d’hébergement pour personnes âgées, et une maison pour l’autonomie et l’intégration des malades Alzheimer et dispense de nombreux services de soins et de soutien à domicile.
L’association a décidé d’entreprendre la rénovation ou la reconstruction de ses résidences pour les adapter aux besoins actuels de confort et de sécurité des personnes accueillies. La réalisation de la résidence Antoine-Portail, du nom d’un lazariste de la première heure et proche de saint Vincent, s’inscrit dans ce cadre. La résidence est installée dans un complexe architectural et paysager se développant autour de la maison mère de la congrégation de la Mission, fondée en 1817, ensemble remarquable du sud-ouest parisien.
C’est au deuxième étage de l’Ephad, réservé aux pères lazaristes, qu’est située la chapelle où est intervenu le père Kim, à la demande de la congrégation de la Mission. Pourvue d’une grande baie d’angle, en verre translucide, elle a reçu en seconde peau intérieure les verrières créées par l’artiste, orientées au nord-ouest et nord-est. Le 28 avril 2015 le père Kim a réceptionné les vitraux, réalisés par l’atelier Derix, ce qui lui a permis de saluer deux de ses frères dominicains, qui y vivent alors avec huit lazaristes, un carme et un sulpicien. L’artiste a travaillé à partir des vers de son ami François Cheng :
« L’heure est donc venue, Seigneur,
De dévisager la vie
Selon toi, non selon nous.
Accompagne-nous jusqu’au bout
Pour que rien ne soit perdu.
Mais toi, le perdu par nous,
Viendras-tu à l’heure, Seigneur ? »
La verrière nord-ouest a été réalisée en trois parties tandis que la verrière nord-est se compose de deux panneaux.
L’ensemble a été inauguré le 12 octobre 2015, peu de temps après que l’association Monsieur Vincent eut fêté son vingtième anniversaire.
Les vitraux ont été réalisés par les Ateliers Derix, à Taunusstein (Allemagne).
Vitraux : 12 baies (6 baies de 50 x 80 cm dans le chœur, 4 baies de 50 x 80 cm dans la nef, 1 baie au-dessus de l’entrée de 40 x 20 cm et 1 baie au-dessus de l’autel de 210 x 97 cm divisée en 3 panneaux). 6 m2
Technique : Verres thermoformés de 8 mm et peints à l’émail et assemblés en vitrage isolant.
Ateliers Loire
Contacts :
Tél : 33 (0)4 71 00 61 02 et 33 (0)6 72 79 84 96
Courriel : secretariat@aucoeurdelhomme.
http://www.aucoeurdelhomme.org
La Fraternité Bénédictine « Cœur de Jésus, Source de vie » s’est installée à Sereys le 11 juillet 2007. Elle y a institué la vie monastique selon la Règle de Saint Benoît marquée par la prière, le travail et l’accueil.
En ce mercredi 6 août 2014 avait lieu une messe présidée par Monseigneur Brincard, évêque du Puy. Lors de cette concélébration, il a procédé à la bénédiction des quatre vitraux.
Participaient à cette concélébration, le père Kim en Joong ; le père Hugues Minguet, bénédictin, responsable de la fraternité ; le père Gilles Pagès, supérieur provincial de France des Spiritains ; le père Patrice Missonnier, curé de l’ensemble paroissial de La Sainte Famille de l’Ance à l’Arzon ; le père Daniel Savelon, curé de l’ensemble paroissial Saint-Jean-XXIII aux sources de La Borne ; le père Paul Best.
Pour connaître les heures d’ouverture de l’église Saint-Rémi nous vous conseillons de téléphoner au : 01 43 76 75 56
Huit nouveaux vitraux-oculi ont été réalisés par le Père Kim En Joong, dans la poursuite des travaux de rénovation de l’église Saint-Rémi de Maisons-Alfort.
Pour cette rénovation, le Père a sollicité l’entreprise allemande Derix, qui a réalisé et posé ces vitraux dans la partie haute de l’église.
Inauguration des vitraux et le l’orgue
Pour organiser une visite de l’Eglise Saint-Martin, nous vous conseillons d’appeler la Mairie au 05 53 05 25 28
Ajat, petite commune du Périgord Noir de 300 habitants, a conservé son caractère pittoresque et authentique. Son église Saint- Martin, et le château qui la jouxte, veille sur le bourg depuis le XIIème siècle. Depuis plusieurs années cette église romane fait l’objet d’une importante restauration où la noblesse de la pierre domine, mais ce sont les vitraux qui lui redonnent ce supplément d’âme.
René Caffier, qui a restauré le château d’Ajat, a proposé le Père Kim en Joong pour réaliser ces vitraux. L’association « Les amis d’Ajat » a été créé, regroupant tous ceux qui étaient convaincus que cette proposition était une opportunité exceptionnelle. Elle a assuré la maîtrise d’ouvrage avec les Ateliers Loire et permis le financement par mécénat privé avec le support de la Fondation du Patrimoine. Aujourd’hui c’est une communion entre les vitraux des 10 baies et la beauté épurée de l’édifice. C’est une danse de couleurs qui se reflète sur le pavement et embrasures des baies. Ce sont des sources de lumière qui donnent un nouveau souffle à la vocation spirituelle du lieu.
Le vitraux furent bénis le 26 avril 2014 par Monseigneur Michel Mouïsse, évêque de Périgueux et de Sarlat, entouré des Pères Christian Miane, Jean-Marc Nicolas, Jean-Nicolas Sed et naturellement en présence du Père Kim En Yoong.
L’assistance a été chaleureusement accueillie par Monseigneur Mouïsse qui a donné le ton de cette journée : convivialité, recueillement et partage.
En 2011, a été décidé de créer une extension sur le site Devins, pour doter l’établissement d’une quinzaine de chambres supplémentaires. Le père Rouchon, aumônier de la place, a demandé un lieu spécifique afin de célébrer la messe dans de bonnes conditions.
C’est l’architecte Vincent Besançon, de Brioude, qui a assuré la maîtrise d’œuvre de l’ensemble. Georges Rouzaire, président de l’association, sollicite alors le père Kim et l’atelier Loire, pour étudier la possibilité d’une création de vitraux dans cette nouvelle chapelle. Le projet, accepté par le conseil d’administration, a été soutenu financièrement par les religieuses dominicaines.
Comme le dit si bien Bruno Loire, Maître Verrier : « L’autre particularité de ce chantier se situe sur un plan humain. Le projet très important pour une si petite commune, a pu voir le jour grâce à la foi extraordinaire des membres d’une association et d’une municipalité enthousiaste, qui se sont mobilisés et ont su se fédérer.
En effet, une association a été créée en septembre 2010, à l’initiative d’une poignée d’habitants d’Orgnac-sur-Vézère, association en étroite concertation avec le maire Marcel Dandaleix, son adjointe Brigitte Marsac et le père Nicolas Risso, curé de la paroisse. Monsieur Jean Pouget en est le président.
Depuis sa création, l’association s’est attachée à :
. contribuer à l’élaboration de projets de financement présentés auprès de différents organismes, recueillir des dons par tous moyens.
. suivre le projet des vitraux qu’elle avait initié
. organiser des animations culturelles (concerts, soirées musicales, expositions, conférences),
. organiser des journées de bénévolat pour assurer des petits travaux de restauration et d’entretien,
. éditer des documents de présentation de l’église ainsi qu’un livre, développer ce site internet,
. sensibiliser les habitants et visiteurs à la beauté de cette modeste église,
. participer aux journées du Patrimoine.
L’oeuvre du Père kim pour Orgnac se compose de 11 vitraux travaillés sur un verre float de 8 mm d’épaisseur préalablement thermoformé et peint avec céments, émaux et grisailles, créés au sein des Ateliers Loire.
Le 9 juin 2007, lors de la fête qui marque les 80 ans de l’établissement, fut inauguré les premiers vitraux, fabriqués par les Ateliers Loire, pour la petite chapelle.
Vitraux : 2 baies de (250 x 175 cm), soit 7. 50 m2.
Technique : verre float de 4 mm, peints à la grisaille, céments, émail et jaune d’argent, double vitrage.
En 2013, dans le cadre d’important travaux d’extension et de restructuration de l’Ecole, une nouvelle chapelle plus vaste a été prévue. L’architecte Bernard Geyler en dessina, non seulement les plans, mais aussi le mobilier liturgique. Sur le tabernacle, le siège du président, le chandelier, l’ ambon… on peut admirer des verres peints et des céramiques effectués par le Père Kim En Joong.
La chapelle compte au total 20 vitraux qui ont été réalisés sans utilisation de plombs. Ceux-ci ont été créés dans l’ Atelier Derix Glasstudios installé à Taunusstein, en Allemagne.
7 céramiques décorent la façade intérieure gauche. Ces dernières ont été réalisées à la Faïencerie de Charolles, où le Père Kim créé toutes ses céramiques.
Ouverte : du lundi au vendredi 8 h-12 h 14-17 h – Sauf les jours fériés
Téléphone : 04 77 44 21 90
Pour la première fois, le Père Kim En Joong crée des vitraux pour un lieu laïc, 9 baies de 16 m2 de vitraux sont inaugurés le 6 février 2013, en présence du Maire de Mably Jean-Jacques Ladet et Monsieur Yves Perret architecte.
Technique : Verres incolores de 8 mm thermoformés et peints à la grisaille, émaux et céments
Vitraux réalisés par les Ateliers Loire.
Ouverte tous les jours de 10h à 12h et de 14h à 18h.
Saint-Pol de Léon, petite ville de 7200 habitants, est située dans le Finistère Nord, région de Morlaix et Roscoff.
Elle est riche d’un patrimoine historique exceptionnel car elle fut le siège d’un évêché jusqu’à la révolution. Elle possède en particulier une basilique du 13e siècle, ex cathédrale, ainsi que la chapelle du Kreisker réédifiée vers le 13e siècle et dotée d’une flèche au 14e siècle. Cette flèche culmine à 79 mètres (contre 68 mètres pour Notre Dame de Paris !) et elle est flanquée de clochetons de plus de 16 mètres.
La baie vitrée la plus grande, qui recevra le vitrail du Père KIM, fait environ quarante-cinq mètres carrés. La maçonnerie de dentelle de pierre, en mauvais état, a été restaurée au cours de l’été 2012.
La proposition du Père KIM a été retenue parmi plus d’une douzaine de projets. Le comité de pilotage chargé de la sélection comportait, outre l’architecte des bâtiments de France, des représentants de la paroisse, des élus de la commune et des agents communaux, des responsables de la commission d’art sacré diocésaine.
Le vitrail se compose de 187 panneaux de verre float de 6 mm d’épaisseur peints par le Père Kim aux ateliers Loire. De plus le verre n’étant pas trempé n’a pas eu besoin de grillage de protection. Céments, émaux et grisailles ont été peints par l’artiste sur les deux faces du verre.
L’ensemble Scolaire Françoise Cabrini est un Etablissement catholique de 2 300 élèves qui éduquent des enfants et adolescents de la maternelle au lycée général et technologique mais aussi comporte un lycée professionnel.
Enfin, elle dispense un enseignement culturel des religions et offre la possibilité d’approfondir sa foi.
C’est en 2012, avec les Ateliers Loire que le Père Kim, crée pour l’oratoire et la chapelle : une rosace et 6 baies.
Double vitrage de verres incolores de 6 mm peints à la grisaille, émaux et céments.
À sa fondation, à la fin du XIe siècle, le prieuré Saint-Jean-l ’Evangéliste dépend de la puissante abbaye de la Chaise-Dieu en Auvergne.
Le classement, en 1920, au titre des Monuments historiques, n’empêche pas la ruine progressive des bâtiments. Il faut attendre le rachat de l’ensemble par la commune en 1989 pour que soit entreprise sa restauration, qui va durer quinze ans. La restauration de l’église abbatiale a été achevée, de 1998 à 2004, par la matérialisation au sol du plan originel après une campagne de fouilles archéologiques, puis avec la création et la réalisation d’un ensemble de vitraux contemporains, créé par l’artiste Richard Texier pour l’abside de l’église ; aux ateliers Duchemin par Gilles Rousvoal.
Pour visiter l’Eglise Saint-Pierre-et-Saint-Paul nous vous conseillons d’appeler la mairie au : 03 86 50 04 36
Diennes-Aubigny est une petite commune d’une centaine d’habitants dans la Nièvre. L’Eglise Saint-Pierre-et-Sain-Paul est un joyau de l’art roman du XIIème siècle. Elle a été inscrite au Monument Historiques en 1964
Sous l’impulsion de l’association « Perennité de l’Eglise » des phases de restauration ont lieu depuis 1996. Dans les années 2010, le projet de remplacer des vitraux de verre blanc par des vitraux contemporains voit le jour. Sous la houlette de son maire, Jean-Pierre Carré, le comité de pilotage choisit Kim En Joong.
L’ors de sa première visite de l’église le Père Kim resta le longues minutes en silence, impressionné devant les reflets de la lumière extérieure sur les pierres des murs. Voici la lettre qu’il envoya au comité de pilotage de cette restauration, après cette première visite :
« Comme pour toutes mes créations précédentes en peinture et en vitrail, je travaillerai de façon abstraite. Il n’y aura donc pas de représentations figuratives ou symboliques. Mes vitraux contribueront à l’atmosphère de recueillement et de spiritualité de cette belle église romane et non à illustrer une catéchèse.
Je compte avoir pour l’ensemble des baies une dominante chaude à base de jaune et de rouge. Cependant pour le choix des couleurs que j’utiliserai en complément des jaunes et rouges et par mon geste pictural, j’aimerais évoquer les thèmes suivants : le Christ pour les baies du chœur, où la gamme chaude sera privilégiée, et cette même gamme chaude pour les baies ouest, en réponse à celles du chœur, Le Magnificat et la Vierge pour la grande baie nord, avec une dominante rouge pour le Magnificat et quelques bleus pour la Vierge, un hommage à saint Pierre et saint Paul pour les deux grandes baies sud, avec toujours une dominante chaude accompagnée de touches de bleus, verts et violets, rendant hommage aux deux saints et enfin les quatre évangélistes pour les quatre baies romanes hautes du nord et du sud avec « une ronde arc-en-ciel ».
Comme pour mes précédents vitraux de Brioude et de Montceaux-l’Etoile, le travail de peinture sur verre utilisant des céments, émaux et grisailles, sera privilégié. Le verre support, un verre float de 6 ou 7 mm pourra être thermoformé de façon à donner une matière et premier graphisme au verre. Mon travail de peinture avec des pinceaux de calligraphie et un pistolet sera réalisé en atelier, plusieurs cuissons successives étant nécessaire pour réaliser l’œuvre. Les verres seront trempés pour les sécuriser et les rendre plus résistant aux chocs mécaniques et thermiques. »
Les 11 baies, 6 m2 ont été réalisés non loin de Chartres dans les ateliers Loire, qui ont aussi effectué leurs poses.
Le 8 juin 2013 eut lieu la bénédiction des vitraux par Monseigneur Thierry Brac de La Perrière, évêque de Nevers.
La Maison Pierre-Seilhan est édifiée sur la rive droite de la Garonne, en face du parlement, aujourd’hui palais de justice. Elle appartenait au père de Pierre Seilhan qui la reçut en héritage avant de la donner à Dominique de Guzman. L’acte de donation daté du 25 avril 1215 est conservé aux archives nationales de Paris. Saint Dominique est en effet dans la région depuis 1203, prêchant la foi chrétienne face aux cathares, entre Carcassonne et Toulouse. Adossée à l’enceinte gallo-romaine qui existe encore au Moyen Âge, et construite en briques roses, la maison abritera ainsi saint Dominique et ses premiers compagnons.
HEURES D’OUVERTURE
Dernière entrée 30 min. avant la fermeture
1er Novembre – 31 Mars : 10h00 – 12h30 / 13h30 – 17h00
1er Avril – 30 Juin : 10h00 – 18h00
1er Juillet – 31 Août : 9h30 – 19h00
1er Septembre – 31 Octobre : 10h00 – 18h00
C’est par l’intermédiaire du chœur grégorien auquel appartenait le Père Kim que ce dernier connut l’abbaye de Fontfroide. Venu pour les fêtes de Pâques, il y passa tout l’été à méditer et à peindre.
Il s’en suivit une exposition de tableaux, puis les travaux de réhabilitation de la chapelle des morts prenant fin, tout naturellement le Père Kim fut choisi pour réaliser les vitraux.
2 baies en plein cintre (75 x 200 cm), 1 baien en pleint cintre de (80 x 155 cm) et un occulus (diamètre 100 cm), pour 5 m2.
Technique : Verres incolores peints à la grisaille, émaux et céments, trempe des Verres.
Ateliers Loire
La collégiale est ouverte de fin octobre à fin mars de 8 h 30 à 17 h et le reste de l’année de 8 h 30 à 19 h.
La collégiale Saint-Thiébaut de Thann est un des fleurons du gothique rhénan en Alsace. Construite de la fin du XIIIe au début du XVIe siècle, la collégiale est illuminée par le plus vaste ensemble de vitraux du XVème siècle existant en Alsace.
Ce nouveau vitrail fut possible grâce au legs de Monsieur et Madame Fischer, en 2002, qui souhaitaient que leur don soit réservé à la réalisation d’un nouveau vitrail dans cette église.
Le vitrail monumental de 20 m2, fut enchâssé dans son écrin de pierre, par Bruno Loire, des Ateliers Loire, remplaçant ainsi l’ouverture béante.
« L’art gothique, par sa verticalité architecturale, source de la luminosité des vitraux, donne un avant-goût du Ciel. Lors de ma visite dans cette église, j’ai été très impressionné par le vide de cette baie qui prend une place si importante dans l’édifice ; en y réfléchissant, l’idée que cet espace pourrait être une synthèse de la riche atmosphère du lieu s’imposait à moi. Ainsi à la place du vitrail disparu pour traiter le thème du jugement Dernier j’ai imaginé la présence d’une lumière trinitaire, accompagnant le visiteur qui, en quittant cette église, conserverait longtemps la vision de cette réalité d’en haut ; si le Jugement Dernier est fait pour ceux qui refusèrent cette lumière, Dieu miséricordieux ne peut pas perdre un seul de ses enfants ; malgré tout, il illuminera ainsi les pas de celui
Le rouge, c’est la naissance, l’esprit, la passion ; le jaune, la joie, la lumière ; le bleu, l’espérance, la pureté ; la diffusion de ces trois couleurs se veut une recherche en permanence de l’unité qui enveloppe tout l’univers ; ma propre technique du vitrail, sans l’usage du plomb, sans statique, rejetant par là même le noir du quotidien, aide à magnifier cette idée de l’unité par la lumière.
Mon travail artistique ne repose donc pas sur un souci narratif ou décoratif comme celui qui fut accompli en ce domaine sacré par Matisse ou Chagall. Non, il s’agit pour moi, depuis des décennies, de la recherche d’un autre langage éloigné des réalités premières, animé d’un désir profond de continuer à chanter par mes couleurs la gloire de Dieu, et de fixer ainsi au sein des pierres une parcelle d’éternité. »
Père Kim En Joong
Vitrail : 1 baie de la façade ouest, 18 m2 (6.20 x 3. 85 m).
Technique : Verres incolores 6 mm peints à la grisaille, émaux et céments et trempe des verres
sdfsdfsdfsdfsdfsdfs
Entrée libre – Tous les jours de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h 30
Renseignements : 04.71.74.97.49
Afin de pouvoir visiter l’église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, nous vous conseillons de prendre contact avec la mairie.
Tél : 03 85 25 14 85
Lundi 9 h – 12 h
Jeudi et Vendredi 13 h 45 – 17 h
Montceaux-L’Étoile est une petite commune de Saône-et-Loire de 250 habitants.
L’église Saint-Pierre-et-Saint-Paul domine la vallée de l’Arconce. Cet édifice appartient à un ensemble exceptionnel d’églises romanes du XIIème siècle, réparti dans tout le Brionnais. Elle est inscrit aux Monuments Historiques en 1893
Sept vitraux de Kim en Joong, souhaités et commandés par la municipalité, et par l’association des Amis de Montceaux-l’Étoile, sont posés à la fin du chantier par les Ateliers Loire, famille de Maître Verrier : trois au nord, trois au sud, et la dernière surmontant le portail occidental.
Le Père Kim a particulièrement apprécié de travailler pour cet édifice : « J’ai la nostalgie de la simplicité de l’art roman. Mes vitraux iront dans le sens de cette simplicité ; ils seront sans figures, aux couleurs très simples, souvent primaires. Les vitraux doivent faire chanter les pierres, je voudrais qu’ils soient un Benedictus et un Magnificat continuels. Le vitrail est l’œil d’une église, celui-ci doit être vigilant et transmettre la lumière. »
Technique : Verres incolores peints à la grisaille, émaux et céments.
L’ensemble paroissial se présente sous la forme d’un cube dans lequel sont groupés le sanctuaire, le presbytère et de nombreuses salles à usage divers. Il ressemble aux H.L.M. du quartier, aux grands ensembles qui l’entourent, aux usines modernes des environs. Mais la croix et le campanile de l’entrée rappellent le caractère sacré de l’édifice.
Le Père Kim a tenu à ce que les anciennes menuiseries, trop imposantes, soient déposées.
Les nouveaux vitraux, réalisés dans l’atelier Loire, s’insèrent désormais dans de fines menuiseries métalliques qui permettent à la lumière d’entrer le plus généreusement possible.
La grande hauteur de chaque verrière a cependant nécessité une composition tripartite qui évoque la Trinité.
Le Père Tadeusz a laissé à Kim en Joong la plus grande liberté dans l’interprétation du programme de départ. Il estime que les 12 verrières ont métamorphosé toute l’atmosphère de l’église. L’architecture austère s’est éclairée et ouverte encore plus largement. La paroisse, populaire et très vivante, accueille désormais 1200 personnes pratiquantes dont 400 polonais.
Ouvert tous les jours de 8 h à 19 h.
L’Oratoire de la Sainte-Face est un sanctuaire du diocèse de Tours. Il est situé dans l’ancienne maison du « saint homme de Tours », Mr. Léon Papin-Dupont (1797-1876)
L’Adoration nocturne à l’oratoire de la Sainte-Face remonte au 2 février 1849 et elle ne s’est interrompue que pendant la Seconde Guerre Mondiale.
Établie par M. Dupont, en prolongement de ce qui existait, un an plus tôt à Notre-Dame-des-Victoires à Paris, elle était à l’origine entièrement tournée vers l’idée de « réparation ».
Ce lieu fort, qu’est l’oratoire de la Sainte-Face, a été confié par Mgr Aubertin, archevêque de Tours, aux Dominicains qui y ont officiellement installé leur couvent à l’occasion du Triduum de la Sainte-Face, les 4, 5 et 6 février 2008.
Crypte Saint-Fulbert – Chapelle Sainte-Catherine
Horaires d’ouverture : de 8 h 30 à 19 h 30 tous les jours de l’année
Mardis, vendredis et dimanches de juillet et août jusqu’ à 22 heures
À l’occasion du millénaire de Fulbert de Chartres, le Père Kim a ainsi pu rendre hommage par ses vitraux à cet évêque bâtisseur de Chartres, et dit à propos des baies de la chapelle Sainte-Catherine : « Elles sont un hommage à Saint Fulbert selon une libre interprétation. »
« Le vitrail doit nous parler sans paroles et s’adresser à la qualité de l’être humain qui veut recevoir la lumière éternelle. »
C’est pour l’une d’elles, exposée au sud-est et dédiée à sainte Catherine, que le Père Kim a alors créé, avec les Ateliers Loire, un ensemble de deux baies de 7, 54 m2, commandées en 2005.
Technique : Verres de 6 mm, émaux grisailles et céments, verre dépoli Debitus
L’architecte, Jacques Bellocq, a conçu ces aménagements récents et dessiné une chapelle pour les résidents. Il avait rencontré et travaillé avec le Père Kim lors de la création des vitraux du monastère des dominicaines de Dax en 2001
Une seconde collaboration a ainsi pris forme à Cauneille, avec les Ateliers Loire.
Vitraux 2 baies de 65 x 137 cm, pour 2 m2
Technique : Verre incolore 6 mm peint à la grisaille, céments et jaune d’argent, trempe des verres peint, double vitrage.
Parmi tous les bâtiments du monastère, seule l’église se visite.
En dehors des heures réservées aux offices, l’église est ouverte mais n’est pas accessible dans sa totalité.
Les visites complètes sont possibles chaque après-midi du Mardi au Dimanche inclus, entre 15 h 00 et 17 h 00. (excepté durant la retraite des moines à la mi-janvier).
Vous pourrez également admirer les merveilles de l’architecture romane et les vitraux du Père Kim En Joong.
Il est également possible de voir le cloître à partir de l’église, grâce à une baie vitrée qui y donne directement accès. Les autres bâtiments du monastère ne sont pas accessibles aux visiteurs pour ne pas perturber la vie monastique de la communauté.
L’édifice est éclairé, au sud, par des baies de plein cintre, ouvertes dans chacune des 3 travées de la nef, et dans le bras du second transept, à l’est, par des ouvertures placées dans l’axe de l’abside et de chacune des deux absidioles, et à l’ouest par l’oculus surmontant le portail de la façade occidentale.
Les moines, leur père abbé René-Hugues de Lachaisserie et l’architecte des Monuments Historiques œuvrèrent de concert pour choisir un peintre qui concevrait de nouvelles verrières.
De nombreux artistes furent pressentis et des projets esquissés sans être retenus. Le père abbé s’était entre-temps rendu à Rome et avait séjourné à Sainte-Sabine. Les vitraux, que le Père Kim y avait réalisés, le convainquirent alors de faire appel à l’artiste coréen.
Le Père Kim, avant de créer les vitraux, a séjourné au monastère. Il a partagé la vie des moines bénédictins et a observé les effets de la lumière dans l’église. Il s’est ensuite mis au travail dans les ateliers Loire.
Chaque baie se compose d’une plaque unique, à l’exception de la rosace située derrière l’orgue divisée en neuf partitions.
Inaugurés en 2006, les vitraux de Kim en Joong sont pour la communauté de Ganagobie, « Une invitation à voir au-delà ou plus loin. Ils s’offrent à nos regards en signe d’une surabondance généreuse, qu’on peut nommer grâce ou gratuité. Ils sont, dans un univers mesuré, calculé, compté, la promesse déjà réalisée d’un monde libre, gratuit et harmonieux ».
Vitraux : 8 baies dont 1 rosace de 12 m de diamètre et 8 baies romanes pour 8, 50 m2.
Technique : Verres incolores de 6 mm, émaux, céments, grisaille et jaune d’argent.
Ateliers Loire
Le monastère est incrit au Monument Historique depuis 1946 pour l’église et 1988 pour le prieuré.
Pour connaître les horaires d’ouverture merci de téléphoner au 04 77 54 41 26
1 baie pour la chapelle du baptistère, 2. 80 m2 (240 cm x 120 cm)
Technique : Verre incolore 6 mm, peint à la grisaille, émaux et céments.
Ateliers Loire
Eglise ouverte tous les jours de 8 h 30 à 20 h
Le Père Kim connait bien l’église Saint-Joseph-Artisan, car il fut l’un des aumôniers des Sœurs Servantes des Pauvres, installées dans le bâtiment attenant à l’église. Il célèbre, chaque dimanche, la messe dans leur chapelle et rencontre ainsi le Père Pierre de Parcevaux, curé de la paroisse. Celui-ci lui fait part de ses questions concernant les vitraux de l’église pour la plupart endommagés.
Le Père Kim propose alors au prêtre d’offrir son travail à la paroisse et d’imaginer une suite de 5 vitraux pour le bas-côté. Le chantier est confié aux Ateliers Loire
Située en bord de route entre Bénodet et Fouesnant, elle a été l’église paroissiale de Bénodet jusqu’en 1878. Sa partie romane fut édifiée au XIe siècle. L’église est inscrite aux Monuments Historique depuis 1916.
L’enclos qui entoure l’église fut un ancien cimetière. Son calvaire, restauré en 1989, représente Saint Laurent et Sainte Brigitte les deux saints à qui est dédiée cette église. La statuaire, l’autel et les vitraux ont été restaurés et présentent une polychromie de grande qualité.
L’église se visite durant les vacances scolaires le samedi, dimanche et lundi.
10h à 13h et de 14h à 18h.
Oculus Eglise Sainte-Brigitte du Perguet
Le Père Kim a d’abord réalisé le vitrail du chœur et les deux verrières du transept.
En 2003, l’association « Paotred Perguet » a pu, de nouveau, réunir un budget pour continuer l’œuvre débutée trois années auparavant. Il s’agissait alors de créer les vitraux des six baies hautes de la nef, d’un oculus et d’une fenêtre du bas-côté sud.
Pour le Père Gusti Hervé, prêtre de la paroisse, le programme a été respecté au-delà de ses attentes. Il a écrit un texte pour cette réalisation, le premier chantier où le Père Kim va créer l’ensemble des vitraux d’une église:
« …. Kim En Joong a su embellir Perguet en le servant et en le respectant. Il a fait cela de manière personnelle : des moments de découverte, d’appréhension sous des angles et des lumières différents, des bribes de conversation aussi, et puis soudain, des temps assez courts d’intense concentration et recueillement, d’où naissent par la suite quelques suggestions d’un travail possible. Nous avons parlé du double vocable de sainte Brigitte et de saint Laurent en ce lieu. Double face du même mystère : contemplation et action, vie de carmélite et mort douce pour l’une, vie de service des tables et du livre pour l’autre, rassemblés dans l’unique gloire de la Trinité.
Les six petites fenêtres hautes de la nef romane- on pourrait presque dire minuscules, celles du sud tout particulièrement- donnent un maximum de lumière grâce à leur ébrasement intérieur très réussi. Travail peut-être plus difficile encore de créer des vitraux qui respectent l’architecture, laissent passer la maximum de lumière et soient, dans leur différence, en continuité avec les vitraux déjà en place. C’est presque une ligne identique à celle qui avait créé l’harmonie entre la partie romane et la partie gothique…. »
Vitraux : 3 baies dans le choeur avec intégrations d’éléments anciens (3 armoiries des familles Bodigneau, Fouesnant et seigneur Juch) pour 11 m.
En 2002, 8 baies : 6 baies de la nef, 1 baie à droite de la porte d’entrée et un oeil de boeuf.
En 2005, restauration de la baie basse côté sud suite à un vandalisme.
2006 : 1 baie d’un m2.
Technique : Verres de couleurs et plomb peints aux émaux, à la grisaille noire et céments.
Ateliers Loire
Horaires des Offices
Laudes 7.30 Messe 8. 00
Dimanche 9.00 Heure Médiane 12.00 Vêpres 17.30 Complies/Vigiles 20.30
Depuis 1998, le monastère Saint-Dominique situé à Dax compte une trentaine de sœurs. Cette congrégation résulte de l’ unification de quatre communautés : Clairefontaine en région parisienne, Saint-Martin de Hinx et Dax dans les Landes, et Pellevoisin dans le Berry.
La chapelle, qui date de la fin du XIXe siècle, avait été restaurée mais les vitraux étaient restés tels quels, pour la plupart constitués de verre dépolis.
Les moniales du monastère Saint-Dominique ayant eu connaissance des œuvres picturales du Père Kim, acceptent avec enthousiasme la réalisation du programme complet des vitraux ; le tandem Père Kim et Monsieur Bruno Loire, des Ateliers Loire, pour la réalisation et la pose des vitraux.
Quinze vitraux sur le thème du Jaillissement du buisson ardent, soit 20 m2 sont installés entre le chœur, la nef et le mur d’entrée, voir la vidéo ci-dessous.
Technique : Verres peints aux émaux, à la grisaille noire et céments puis fractionnés suivant le graphisme du Père Kim. Quelques pièces sont remplacées par d’autres types de verres puis assemblage au plomb et mise en double vitrage.
En 1988, conquis par les édifices religieux déjà réalisés par Botta, Monseigneur Guy Herbulot, évêque d’Evry et président de l’Association diocésaine, lui demande d’édifier la cathédrale.
Afin de connaître les heures d’ouverture de l’église, téléphonez au 05 45 91 29 33
Eglise
Chapelle
Eglise
Cathédrale
Ancien Tribunal
Chapelle
Eglise
Chapelle
Maison
Chapelle
Chapelle
Monastère
Eglise
Eglise
Chapelle
Eglise
Chapelle
Mairie
Chapelle
Chapelle
Abbaye
Eglise
Oratoire
Abbaye
Collégiale
Chapelle
Basilique
Eglise
Eglise
Oratoire
Chapelle
Chapelle
Eglise
Eglise
Eglise
Eglise
Chapelle
Cathédrale
Eglise